Ils peuvent désormais fourbir leurs armes et leurs arguments, les noms des trois candidats officiellement en lice pour l’élection suprême, qui approche à grands pas en Algérie, viennent d’être validés par la Cour constitutionnelle.
Abdelaali Hassani, un ingénieur des travaux public de 57 ans, pour le Mouvement de la société pour la paix (MSP), Youssef Aouchiche, un ancien journaliste et député de 41 ans, pour le Front des Forces socialistes (FFS), et Abdelmadjid Tebboune, 78 ans, le président sortant que l’on ne présente plus, briguant un second mandat, ont obtenu le feu vert pour enfourcher leur cheval de bataille dès le 15 août, date du lancement de la campagne présidentielle.
« Les trois candidats dont les dossiers ont été acceptés sont Abdelaali Hassani, Youssef Aouchiche et Abdelmadjid Tebboune », a confirmé en conférence de presse le président de l’Autorité électorale (Anie), Mohamed Charfi.
Le samedi 7 septembre prochain, plus de 24 millions d’électeurs algériens seront appelés à ne surtout pas bouder les urnes, pour faire entendre leur voix et choisir leur avenir.
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