Scandale autour de la nouvelle prix Nobel de la paix, Maria Corina Machado, cheffe de l’opposition vénézuélienne, qui a félicité Benjamin Netanyahu pour « ses décisions et actions au cours de la guerre » contre le Hamas. Lors d’un entretien téléphonique avec le Premier ministre israélien, Machado a salué son « courage » face aux « forces totalitaires » et dénoncé un supposé « axe Iran–Maduro–Hamas ». Sur X, elle a affirmé que « la paix exige courage, force et clarté morale ».
Des propos jugés indécents et honteux pour une lauréate du prix Nobel de la paix, alors qu’Israël est accusé de génocide à Gaza. De nombreuses voix dénoncent une trahison des valeurs mêmes du Nobel. Le président colombien Gustavo Petro a vivement réagi, remettant en cause le choix du comité Nobel et rappelant les liens passés de Machado avec Israël. Pour beaucoup, cette prise de position révèle une instrumentalisation politique du Nobel, au détriment de la justice et des victimes.
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