En larguant des centaines de missiles balistiques à longue portée sur Israël et en parvenant à transpercer son mur de défense aérienne, l’Iran n’a pas seulement fait une démonstration de force, au point de semer un vent de panique jusque dans le bunker où le boucher sanguinaire, Netanyahou, et ses sbires ont couru se réfugier comme une bande de pleutres…
Il a aussi réussi à annihiler le profond sentiment d’abandon ressenti par la population martyre de Gaza. Dire que l’impressionnante et impérieuse riposte iranienne a réchauffé les coeurs, dans le lugubre paysage de désolation qu’est devenue l’enclave palestinienne, est un euphémisme. Elle a été saluée, célébrée dans une explosion de joie populaire, offrant le spectacle saisissant de scènes de liesse au milieu de l’immensité du malheur ambiant, à mesure que ses missiles déchiraient le ciel de l’Etat d’assassins sionistes.
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