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Algérie: le discours de la ministre de la Culture conspué par le public présent

C’est désormais devenu une habitude en Algérie. Depuis le 22 février 2019, date du mouvement de contestation populaire, chaque sortie publique d’un ministre du gouvernement algérien est  sérieusement huée, démontrant ainsi le rejet total par tout un peuple d’un système politique anti-démocratique et totalement corrompu.
Une règle à laquelle n’a pas échappé la ministre de la Culture Meriem Merdaci, dont le discours d’ouverture du Festival de Timgad a été  copieusement conspué par le public présent.

 
 
 

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2 commentaires

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  1. Effectivement comme le souligne water water, dépenser des ronds dans des choses futiles au lieu d’investir dans des hôpitaux et des routes ça prouve bien que ce gouvernement est incompétent depuis toujours, ils auraient mieux fait de rester sous la gouvernance française, la culture algérienne est inexistante c’est pas la peine de parler de culture elle est complètement morte il reste qu’une minorité kabyles qu’on essaie de liquider, le reste c’est le néant total, moi je pense que l’Algerie devrait devenir la France ou la Russie voir la Turquie, elle est incapable de se gérer de par son inéxistance culturelle mais aussi par son incompétence intellectuelle, elle devrait se fondre dans la masse avec un autre pays et se faire oublier définitivement.

  2. dépenser un milliard de dinars pour le festival de Timgad.
    On appelle ça culture.
    Je ne connais pas la définition de la culture.
    La musique, l’été et la pleine lune n’ont rien à avoir avec la culture de l’homme.
    Quand un ministère dépense de l’argent, sans créer de l’emploi, on doit le fermer.

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