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Un mouvement citoyen appelle au boycott de l’élection présidentielle algérienne

Rencontre sur Oumma avec Soufiane Djilali, président du parti politique Jil Jadid (Nouvelle génération) et coordinateur national de Mouwatana. Il explique dans cette interview pourquoi le mouvement citoyen Mouwatana est opposé à un 5ème mandat du président Abdelaziz Bouteflika et appelle au boycott de l’élection présidentielle algérienne, dont le premier tour aura lieu le 18 avril 2019.
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6 commentaires

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  1. Savez vous que le vendredi est férié en Égypte depuis la venu de Islam .
    A ce jour
    Le Maroc non , la Tunisie non et l’algerie depuis 2011 .
    Et la Turquie?
    Est après ça certain de vous terroriste insinue que les égyptiens sont des athées .

  2. Perso, je l’appellerais plutôt «le président «Partout et nulle part» : partout, pour les «servis» du sérail politique qui font tout pour maintenir en l’état le «parapluie protecteur» qu’il représente à leurs yeux ; à telle enseigne, d’ailleurs, que quelque soit la moindre structure, la moindre petite cité de logements ou service inauguré(e) ici et là, on ne cesse de nous seriner que c’est «dans le «cadre» du programme président». Nulle part, précisément pour la populace qui ne le voit que trop rarement, voire plus du tout. Pas même à la télé où les mèmes «servis» du sérail, en haut lieu, ont fini par comprendre qu’il faut désormais : d’une part, éviter de montrer un hologramme de président, de surcroit sensiblement affaibli par la maladie, à un point tel qu’il donne l’impression de ne pas tarder à poser carrément son menton sur le bras gauche de son fauteuil roulant ; d’autre part, montrer plutôt des portraits de ce président du temps où il était plus jeune et ce, quelles que soient les circonstances actuelles et à venir.

  3. Vu de loin, sûr que voter pour un cadavre doit être peu motivant. D’autant que les élections semblent un peu trafiquées.
    D’un autre côté, si l’alternative est la théocratie, on comprend la réticence des élites algériennes, corrompues, mais raisonnables.
    Bref, je ne me permettrai pas de trancher. Charybde, ou Scylla? Faut voir.
    Mais bon. Chacun sa merde. Nous on a Macron. Malheureusement, il est vivant. Il parle, par exemple. Il ne devrait pas; Il devait être décédé comme Boutéfika ou Lénine. Au passage, notez le progrès: Boutéfika bouge un peu.
    A sa place, j’en ferais mon slogan de campagne:” Le Président qui bouge” (Un peu).
    En tout cas, c’est mieux que “l’idole des morts vivants”.
    Drôle d’époque.

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