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Présidentielle Algérie: le bras de fer se durcit entre le peuple et un régime aux abois

Soufiane Djilali, président du parti politique algérien Jil Jadid (Nouvelle génération), est l’invité de l’Esprit d’actu. Dans cet entretien, il revient sur la contestation populaire qui ne faiblit pas en Algérie, mue par un objectif crucial : changer le système politique actuel. Evoquant la corruption quasi généralisée au plus haut sommet de l’Etat, et le projet de loi très controversé sur les hydrocarbures, perçu par certains experts comme une atteinte à la souveraineté nationale, il affirme également son opposition à la tenue de l’élection présidentielle le 12 décembre 2019, qui masque (mal) la volonté de sauver un régime aux abois. A cet égard, l’élection présidentielle tunisienne qui a porté triomphalement au pouvoir Kaïs Saïed, et vu la victoire magistrale du « dégagisme » politique, constitue une formidable source d’inspiration et d’espoir pour Soufiane Djilali, et le renouveau démocratique algérien dont il souhaite l’avènement.

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Un commentaire

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  1. Le régime, c’est l’état major depuis 1956.
    On dit, je ne sais pas, qu’il reste peut être vingt mille lions sur terre.
    Le lion est en voie de disparition.
    Les super puissances mettent des hyènes à leur service, et on trompe les peuples, en leur disant votez lion au lieu de votez hyène et celui qui s’oppose, on lui dit vous savez, l’époque du lion n’existe plus.
    Non, un lion n’est pas une hyène.

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