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Témoignages après les attentats terroristes dans 2 mosquées en Nouvelle-Zélande

Les réactions et les derniers éléments concernant les attaques terroristes qui ont endeuillé lourdement deux mosquées situées à Christchurch, dans le sud de la Nouvelle-Zélande. Au moins 49 fidèles ont été abattus froidement et lâchement par un extrémiste de droite, alors qu’ils étaient en train de se recueillir lors de la grande prière collective Al Jumu’a. Quatre personnes ont été interpellées, parmi lesquelles figure un Australien présenté comme un “extrémiste de droite, violent”.

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3 commentaires

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  1. Que la paix soit sur tte les victimes et leurs familles.
    Je pense qu’ il faut punir les semeurs de haine en locurence certains politiciens ou encore
    Des pseudos intellectuels et journalistes qu ils sont les complices d un point vu morale des crimes de ces terroristes .

  2. La haine hante désormais les cœurs, ronge les esprits et gangrène les corps déclenchant ainsi des tsunamis de cruauté et de barbarie. Elle n’est le stigmate d’aucune culture particulière. Elle est omniprésente et récurrente. Hier, c’était la tuerie d’Utoeya où l’on déplora des dizaines de morts. Aujourd’hui, l’on assiste à un scénario similaire que dicte la peur de l’autre. Ce nouveau massacre n’est point, hélas, un fait divers isolé. Il est une réalité que des innocents vivent au quotidien de par le monde. Il n’est pas le fait d’un homme dément issu d’une société que la précarité mine. Ce massacre est la conséquence d’un acte prémédité et froidement exécuté. La haine, hélas, à de beaux jours devant elle car elle est alimentée et entretenue au plus haut point.
    L’attaque des deux mosquées en Nouvelle-Zélande n’est pas seulement le fait d’un homme mais également celui d’un mode de vie et de pensée qui fait voler en éclats les paradigmes essentiels. Il ne s’agit nullement d’un quidam qui a “pété les plombs” mais bel et bien d’un artisan qui a pensé son acte avec pragmatisme, l’a exécuté avec professionnalisme et le revendique avec philosophie et sérieux.
    Cette attaque, encore une, n’est point un fait divers mais surtout le fait saillant d’une humanité qui théorise la violence et la hisse au rang de vertu, d’une humanité qui ne sait désormais à quel saint/psychologue se vouer tellement elle est métastasée par la haine et le mépris, d’une humanité qui ignore la compassion et qui vit encore « en la préhistoire de l’esprit »…
    Cette tuerie n’est pas un incident de parcourt mais la tendance tragique d’une certaine culture qui anime certains hommes que l’autre exacerbe. Elle est symptomatique des sociétés post-modernes pourvoyeuses d’hypothèses et de prothèses en tous genres en vue de combler le vide laissé par l’absence de sens et par les insuffisances d’un ego carencé en valeurs altruistes et qui ne perçoit l’autre que comme un danger et une menace.
    Cette énième tuerie n’est certainement pas un accident. Elle est la chronique d’une hécatombe annoncée. Cette folie meurtrière est la résultante d’une haine froide, méthodique, calculatrice, incantatoire… Elle est étayée par un manifeste censé la hisser au rang de vertu et transmise en directe sur les réseaux sociaux. Le pire a été évité de justesse. Et dire que l’absurde n’existe pas ! Et dire que « le bon sens est la chose du monde la mieux partagée ».
    Le tueur voulait entrer dans l’histoire. Il en dynamita alors la porte et en extermina les acteurs. Il se trouve dorénavant seul entre les murs de sa propre histoire qui ne conte rien.
    Najib

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