Le système de santé français a beau être universel, certains patients ont le sentiment « d’avoir été moins bien traités que les autres », en particulier les femmes, les noirs et les musulmans qui renoncent par conséquent à certains soins, selon une étude publiée mardi par l’Ined.
Avec son assurance maladie « obligatoire et universelle » et son aide médicale d’Etat, la France apparaît comme le pays « dans lequel toute la population devrait avoir accès aux soins de santé ». Mais l’Institut national d’études démographiques a mis en évidence « des taux de discrimination significativement plus élevés » pour certaines catégories.
Les femmes font ainsi plus souvent état que les hommes d’un « refus de service » ou d’une « qualité de soins inférieure ». Idem pour les ultramarins et les immigrés, surtout ceux d’Afrique noire, d’Afrique du nord et de Turquie, par rapport aux personnes nées dans l’Hexagone.
Tout ceci, si c’est vrai, est bien dommageable. Mais le dernier rapport de la cour des compte fait état d’une fraude sociale et d’une fraude aux cartes vitales concernant souvent les immigrés. Des dizaines de milliards perdus par notre pays.
Il faudrait notamment recenser les centenaires qui vivent si longtemps au Maghreb en percevant une pension de la France (2 centenaires de 128 ans au Maghreb par exemple).
Et généraliser les cartes vitales biométriques : 3,5 millions de cartes vitales en trop se baladent dans la nature. Qui en profite ?