On crierait presque au miracle, à moins que ce ne soit le puissant effet roboratif exercé par la première puissance mondiale venue prendre le pouls du grand convalescent d’Alger à la veille de l’élection suprême : Abdelaziz Bouteflika est non seulement apparu en chair et en os devant les caméras, mais il a trouvé la force de se lever pour saluer son hôte John Kerry, chef de la diplomatie Obamanienne.
Bouteflika sera-t-il ou non réélu dans un fauteuil, comme le souhaitent ardemment ceux qui tentent de le remettre sur pied ? Les grandes manœuvres s’accélèrent au fur et à mesure que les conjectures vont bon train, mais si tel est le cas, une chose semble acquise : le président à la longévité exceptionnelle s’installera sur un trône aux airs de fauteuil médicalisé…
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