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Les cinq premiers Conseils d’Ibn ’Arabî

Le Livre des Conseils (kitâb al-wasayâ) est le dernier chapitre, le 560e, et le plus long de l’immense oeuvre, intitulé Al-Futûhât al-Makkiyya, Les Conquêtes ou Ouvertures Mekkoises qu’Ibn ’Arabî a composée à Damas. En effet, il comprend plus de 120 pages grand format et plus de 300 conseils. Le Maître récapitule en eux les aspects essentiels de son oeuvre ; il y traite de la vie spirituelle sous toutes les modalités les plus élevées, et pouvant s’appliquer à toutes les circonstances de la vie du Fidèle. Dans ses exposés, il utilise toujours les sources principales qui font autorité en Islam : la Parole divine descendue sur le Prophète, le Qur’ân ou Récitation englobante, et la Sunna ou Tradition prophétique. La plupart des hadith-s qu’il cite tout au long de ce chapitre sont extraits de son recueil de Traditions prophétiques intitulé Mishkât al-Anwâr, La Niche des Lumières 1. Nous donnons, ci-après, la traduction des neuf premiers conseils, en espérant en présenter d’autres ultérieurement, s’il plaît à Dieu.

CONSEIL 1 – Conseil d’ordre général – l’union fait la force (2)

Allâh a dit au sujet du conseil d’ordre général : ’Allâh vous a prescrit, en matière de Religion (dîn) ce qu’Il a conseillé à Noé. Ce que Nous t’avons inspiré, ce que Nous avons conseillé à Abraham, à Moïse et à Jésus est : Maintenez-vous dans le Religion et ne vous séparez pas à son sujet” (Coran, 42/13).

Dieu-le-Vrai (al-Haqq) a ordonné de se conformer à la Religion révélée – qui est la Loi divine (shar’) régissant le moment présent à chaque époque (zamân) et en chaque communauté traditionnelle (milla) – et de se rassembler et non de diverger à son sujet. Car la Main d’Allâh est avec la Communauté rassemblée (jamâ`a). [Selon le proverbe] ’le loup mange la vieille brebis qui dans sa fuite a pris du retard sur le gros du troupeau et s’en est trouvée isolée’.

L’enseignement (hikma) qui se dégage de ce proverbe est qu’Allâh n’est reconnu comme Dieu se révélant (ilâh) que par Sa possession des Noms excellents, et non en tant qu’Il en serait démuni. C’est donc nécessairement en relation avec l’Unicité de Son Essence (tawhîd `ayni-Hi), la multiplicité de Ses Noms et par leur synthèse qu’Il est (reconnu) comme le Dieu se révélant (al-Ilâh) 3. La Main d’Allâh, qui représente la force, est donc avec la Communauté unifiée.

Hakîm (le sage prophète Jacob) donna à ses (douze) enfants, qui formaient une communauté unie, le conseil suivant au moment de sa mort : ’Apportez-moi des bâtons’. Il les assembla et dit à ses enfants : ’Brisez-les !’ Or les bâtons se trouvaient ensemble (réunis) et à cause de cette disposition ils ne purent y arriver. Jacob alors sépara les bâtons et dit à ses enfants : ’Prenez-les un par un et brisez-les’, et ils y parvinrent. Il ajouta : ’C’est ainsi qu’après moi vous ne serez point dominés tant que vous resterez unis. Mais si vous vous séparez, vos ennemis auront pouvoir sur vous et vous anéantiront’.

De la même manière, ceux qui respectent la Religion en y restant unis et ne divergent pas en elle ne seront pas subjugués par leurs adversaires.

C’est pourquoi l’être humain, en s’unifiant en conformité avec la Religion d’Allâh, n’est dominé par aucun démon, homme ou djinn, qui cherche à le circonvenir par des suggestions, et cela grâce à l’heureuse assistance de la Foi et de l’ange qui le protège avec ses auxiliaires.

CONSEIL 2 – La pratique du bien

Si tu désobéis à Allâh en un lieu, ne le quitte pas sans y avoir fait acte d’obéissance et d’adoration. De même qu’il témoignera contre toi quand on le lui demandera, il témoignera aussi en ta faveur. C’est alors que tu pourras t’en éloigner.

Tu te comporteras de la même manière avec ton habit si tu viens à désobéir à Allâh quand tu le portes.

Tu agiras de même quand tu te tailleras la moustache, quand tu te raseras les poils du pubis, quand tu te couperas les ongles ou quand tu rafraîchiras ta chevelure. Tu ne te nettoieras pas et tu ne sépareras rien de ton corps sans être en état de pureté rituelle (tahâra) et sans invoquer Allâh -Sublime, puissant et majestueux soit-Il- car Il te demandera comment tu t’en es défait.

La plus minime oeuvre d’adoration sur laquelle tu as quelque pouvoir en toutes ces questions consiste à invoquer Allâh pour qu’Il revienne à toi à partir de ce qu’Il t’a ordonné afin que tu t’y conformes impérativement en réponse à Sa Parole : ’Demandez-Moi, Je vous exaucerai’ (Coran, 40/60).

Il t’ordonne donc de Lui demander. Il ajoute : ’En vérité, ceux qui dédaignent l’adoration qui M’est due…’ (Coran, 40/21). Par adoration il faut entendre ici ’demande’ ou ’supplique spontanée’ (du’â) ce verset se comprenant alors de cette façon : ceux qui dédaignent l’humilité et la pauvreté’. La demande spontanée est appelée ’adoration’ puisque celle-ci implique humilité, componction et pauvreté. Le même verset se termine ainsi : ’entreront humiliés dans le Feu de la Géhenne (Coran, 40/21). Allâh rétribue en les faisant entrer, honorés, dans le Jardin ceux qui ont accompli ce qu’on leur commande.

Un certain matin, au lever du jour, il m’arriva de rentrer aux bains pour procéder à une toilette générale. C’est alors que je rencontrai Najd ad-Dîn Abû-l-Ma`alî b. al-Lahîb, mon compagnon. Il demanda le barbier pour les soins de la tête. Je l’interpellais alors : ’O Abû-l-Ma’alî !’ Il me dit, avant même que j’ai terminé ma phrase : ’Je suis en état de pureté légale’. J’avais compris que tu voulais me demander cela !’ Je m’étonnai de sa présence d’esprit et de la rapidité de sa compréhension, de sa bienveillante disposition à pénétrer les situations et de la connaissance qu’il en avait eue dans mon cas. Je lui répondis : ’Qu’Allâh te bénisse  ! Par Allâh, je ne t’ai interpellé que parce que tu étais en état de pureté rituelle et que tu invoquais Allâh au moment de te faire couper les cheveux  !’ Il pria Allâh pour moi et se fit raser.

En ce domaine, les hommes sont bien insouciants. Ils disent même : ’Si tu désobéis à Allâh en un lieu, retire-t-en !’ Car ils craignent pour toi que cet endroit témoigne de ta désobéissance. Leur propos te convient alors que tu ne fais qu’ajouter péché sur péché. Pourtant, ils n’ont attiré ton attention que par miséricorde pour toi, bien qu’une science importante leur échappe !

Obéis donc à Allâh par cette injonction, car tu pourras alors partir de ce lieu en réunissant ce qu’ils t’ont recommandé et le conseil que je viens de te donner.

Toutes les fois que tu te souviens d’une faute que tu as commise, repens-toi des conséquences qu’elle entraîne pour toi et demande pardon à Allâh.

Souviens-toi de Lui à cette occasion selon la nature de cette désobéissance. Le Messager d’Allâh – sur lui la Grâce et la Paix d’Allâh – disait  : ’Fais suivre le mauvais comportement d’un bon comportement qui l’effacera’, car Allâh a dit ’Certes, les bons comportements dissipent les mauvais’ (Coran, 11/114). C’est alors que ce précepte divin sera pour toi le critère par lequel tu apprécieras la juste valeur des mauvais et des bons comportements.

CONSEIL 3 – La bonne estimation au sujet d’Allâh

Aie la bonne opinion (zhann) et non la mauvaise au sujet de ton Seigneur en toute circonstance (hâl), car tu ne sais pas si tu n’es pas en train de rendre ton dernier souffle qui va provoquer ta mort. Rencontre donc Allâh avec la bonne opinion à Son égard et non avec la mauvaise, puisque tu ne peux savoir si Dieu te saisira dans le souffle que tu expires.

Chasse de toi le propos de celui qui parle d’avoir la mauvaise opinion (zhann) pendant la vie (présente) et la meilleure opinion à l’égard d’Allâh à l’heure de la mort. Chez les savants par Allâh, cette attitude est considérée comme ignorance, eux qui demeurent avec Allâh dans tous leurs souffles et en retirent un profit spirituel. La science par Allâh t’impose d’accomplir ce qui Lui revient de droit : d’exiger de toi la Foi, conformément à ce verset : ’Nous vous avons fait exister dans ce que vous ne savez pas” (Coran, 56/61). Il se pourrait qu’Allâh te fît arriver au moment du souffle qui, pensais-tu, provoquerait en toi le processus de la mort et te ferait retourner à Lui, tout en ayant la mauvaise opinion à l’égard de ton Seigneur et que tu Le rencontres alors dans cette disposition. On rapporte du Prophète -sur lui la Grâce et la Paix d’Allâh- cette nouvelle reçue de son Seigneur 4  : ’Je suis auprès de la pensée que Mon serviteur se fait de Moi. Qu’il pense donc le meilleur de Moi !’

Dans cette nouvelle, Allâh n’a pas privilégié un temps plutôt qu’un autre. Que ta pensée à l’égard d’Allâh soit empreinte de la connaissance certaine qu’Il efface, pardonne et est indulgent. Allâh t’incite à garder cette pensée à Son égard dans le verset suivant : ’O Mes serviteurs qui avez été excessifs envers vous-mêmes, ne désespérez pas de la Miséricorde d’Allâh’ (Coran, 39/53). Il t’interdit donc le désespoir et tu dois t’abstenir de ce qu’Il défend. Il t’informe ensuite – et Son information est véridique – qu’Il ne tolère pas de dérogation (naskh) qui constituerait un désaveu bien impossible de Sa part. N’a-t-Il pas dit : ’Certes, Allâh pardonne tous les péchés” (Coran, 43/54), sans spécifier tel ou tel péché. Il a même insister en ce sens en précisant bien : tous les péchés. Il ajoute : ’En vérité, Lui est bien le Très-Pardonneur et le Très-Miséricordieux” (Coran, 43/54). Le pronom ’Lui’ se rapporte à Allâh en tant qu’Il possède ces [deux] attributs attendu que ’Sa Miséricorde précède Son Courroux’ (selon un hadîth).

C’est pourquoi, dans le verset précité, Allâh dit :’qui avez été excessifs’ sans préciser tel ou tel excès. Il a employé le pronom ’Mes’ dans Son propos : ’O Mes serviteurs’ qu’Il a étendu à tout être excessif, mettant ainsi en rapport les serviteurs avec Lui, car ils sont bien Ses serviteurs, comme Il l’a mentionné à propos du serviteur intègre Jésus – sur lui la Paix – ’En vérité, si Tu les châties, ils sont Tes serviteurs’ (Coran, 5/118). En conséquence, Il les met en relation avec Lui – exalté soit-Il. Or la noblesse (sharaf) qui suffit est celle que confère la relation avec Allâh.

CONSEIL 4 – L’obligation de l’invocation d’Allâh

Vous êtes tenus au dhikr d’Allâh, secrètement et ouvertement, en vous-mêmes et en assemblée. Allâh a dit : ’Faîtes donc Mon Dhikr, Je fais votre dhikr (Coran, 2/152). Il en résulte qu’Il a fait de l’exaucement du (ou = de la réponse favorable au) Dhikr accompli par le serviteur, le Dhikr même qu’Allâh accomplit.

Le serviteur n’éprouve pas de plus grand dommage que le péché. Le Prophète – sur lui la Grâce et la Paix d’Allâh- disait, quand un préjudice l’atteignait : ’La Louange est à Allâh en toute circonstance’, et dans le contentement de la joie : ’La Louange est à Allâh, le Dispensateur du bienfait et de la faveur’.

Quand tu gardes, quel que soit ton état, la conscience permanente du Dhikr d’Allâh en ton coeur, celui-ci se trouve assurément illuminé par la lumière du dhikr, de sorte que celle-ci t’accorde le dévoilement (kashf), car par elle, les choses se dévoilent.

Lorsque le dévoilement se produit, le respect (hayâ’) l’accompagne. Le signe qui t’indique cette concomitance est (par exemple) le respect que tu as à l’égard de ton voisin ou de celui chez qui tu reconnais un droit ou une qualité. Or il est sûr que la Foi t’apporte la vénération de Dieu le Réel (al-Haqq) en ton for intérieur.

Ces considérations sont réservées seulement à ceux qui sont avec les porteurs de la Foi et notre conseil s’adresse à tout être qui se soumet (à la volonté divine), fidèle à Allâh et à ce qui provient de chez Lui.

Dans une nouvelle sûre, Allâh précise : ’…et Moi, Je suis avec lui – c’est-à-dire avec le serviteur – au moment où il fait Mon Dhikr (où il Me mentionne). S’il fait Mon Dhikr en son âme, Je fais son dhikr en Mon Ame. S’il fait Mon Dhikr en assemblée, Je fais son dhikr dans une assemblée meilleure que la sienne’ 5.

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Allâh a dit : ’Ceux et celles qui font le Dhikr d’Allâh abondamment’ (Coran, 33/35). Or le Dhikr le plus éminent est le Dhikr d’Allâh en toute circonstance.

CONSEIL 5 – La proximité d’Allâh

Applique-toi à parvenir à l’entière proximité par l’effort intense autant que possible en tout temps et en toute circonstance, selon la signification attachée à ce temps et à cette circonstance par lesquels Dieu le Réel s’adresse à toi.

Si tu portes la Foi, tu ne pourras jamais être délivré d’une désobéissance sauf par une oeuvre d’obéissance qui s’y substitue, car en ta qualité de porteur de la Foi, tu sais qu’il s’agit d’une désobéissance.

Or si tu joins à cette alliance la demande de pardon et le repentir (tu ajoutes) une obéissance à une (autre) obéissance et une proximité à une autre proximité, de sorte que l’obéissance qui suit l’acte mauvais et la foi s’en trouvent fortifiées en produisant une proximité d’Allâh plus intense et plus considérable.

Le fondement sur lequel la proximité toute entière et certaines modalités de la foi sont établies est constitué par ton statut vis à vis d’Allâh, selon le principe qu’Il a Lui- même posé, dans la nouvelle prophétique authentique suivante 6  : ’Si le serviteur s’approche de Moi d’un empan, Je M’approche de lui d’une coudée. S’il s’approche de Moi d’une coudée, Je M’approche de lui d’une brasse. S’il vient à Moi en marchant, Je viens à lui en M’empressant.’

La raison de cette supériorité propre à Allâh, de la faiblesse propre au serviteur et de la surenchère, réside dans le fait que le serviteur doit se trouver raffermi dans son intention de se rapprocher d’Allâh par le comportement [adéquat] et dans le fait qu’il reçoit l’ordre de considérer ses actes selon les critères d’évaluation de la Loi révélée, et cela nécessairement sans retard. S’il montre de l’empressement et s’en qualifie, sa diligence consiste seulement à réaliser les critères d’évaluation de son comportement devant [cette proximité] et non son comportement [en soi]. La réalisation de ces critères d’évaluation par l’acte assure l’accomplissement des oeuvres d’adoration, bien que la proximité divine n’ait nul besoin de balance. La Balance que Dieu le Réel détient dans Sa Main est celle par laquelle tu pèses ce comportement qui te permet de rechercher la proximité d’Allâh. Celui qui possède cette disposition est nécessairement par rapport à toi dans une proximité plus déterminante et plus grande que ta proximité par rapport à Lui.

Allâh se décrit Lui-même comme s’approchant de toi quand tu t’approches de Lui en t’accordant un surcroît de proximité de Lui, symbole (de mesure) par symbole (de mesure dans le hadîth précité). La raison en est que tu es créé selon la forme (d’Allâh). Or une Lieutenance primordiale (awwal khilâfa) te concerne, celle de ta lieutenance conforme à ton essence, car tu es Son lieutenant dans la terre de ton corps, et le troupeau que tu gardes se compose de tes membres actifs et de tes facultés externes et internes. Sa Proximité-même de toi est donc ta proximité de Lui et un accroissement qui se présente comme Il l’a précisé à propos de la coudée, de la brasse et de l’empressement.

Dans la surenchère divine, l’empan entraîne en conséquence la coudée, la coudée la brasse et à la marche correspond l’empressement. Dans la première partie (awwal) de chaque séquence, il s’agit de ta proximité de Lui, alors que dans l’autre partie (la dernière = âkhir ) correspondante, il s’agit de Sa Proximité de toi. Ainsi Lui est le Premier (Awwal) et le Dernier (Âkhir) (cf. Coran, 57-3). Il s’agit alors de la proximité corrélative (al-qurb al-munâsaba). Mais la Proximité divine qui concerne l’ensemble des créatures est différente de cette dernière. Allâh n’a t-Il pas dit : ’Nous sommes plus près de lui que sa veine jugulaire ” (Coran, 50/16).

Je ne veux pas parler ici de cette dernière proximité mais bien de celle qui est la conséquence de la proximité que le serviteur a avec Allâh. Or le serviteur n’a de proximité avec Allâh que par la foi en ce qui provient d’Allâh-même en plus de la foi en Allâh et en celui qui transmet (la Révélation) de Sa part. n

Maurice Gloton

Vénissieux (Rhône)

_____________________

1 – Traduit par Muhammad Vâlsan aux Editions de l’Oeuvre, Paris, 1983.

2 – Les titres en tête de chaque conseil sont de nous pour mieux situer le thème général de chacun d’eux.

3 – Les deux noms Allâh et Ilâh sont coraniques, mais le nom al-Ilâh, le Dieu se révélant n’a été utilisé qu’après la Descente du Qur’ân. Le nom Allâh est aussi bien le nom de l’Essence divine inconditionnée et infinie que le nom de la Fonction divine à laquelle le nom al-Ilâh s’applique dans toute la Manifestation ou Existence universelle. Par contre, le nom ilâh représente toujours un aspect de la Divinité ou la divinité au ’degré’ de l’Unicité divine (wahdâniyya)  ; dans le Qur’ân, il concerne Allâh en tant qu’Il se révèle et désigne parfois des créatures et reçoit le pluriel pour qualifier des divinités quelles qu’elles soient.

4 – In Tirmidhî, rapporté par Abû Hurayra.

5 – Pour ce hadîth qudsî, voir note suivante.

6 – In Bukhârî, Muslim, Ibn Mâja, Tirmidhî et Ibn Hanbal, rapporté par Abû Hurayra.

Maurice GLOTON est notamment l’auteur des traductions suivantes  :

– L’Interprête des désirs, Ibn ’Arabî, Albin Michel, 1996.

– Le traité de l’amour (chap. 178 des Futûhât ), Ibn ’Arabî, Albin Michel, 1986, 1992.

– Traité sur le nom ALLÂH, Ibn ’Atâ ’Allâh, éd. Les Deux Océans, Paris, 1982 et 1990.

– L’Arbre du Monde, Ibn ’Arabî, éd. Les Deux Océans, 1982 at 1991.

– Traité sur les noms divins, Fakr al-Dîn ar-Râzî, éd. Dervy-Livres, deux tomes, 1986 et 1988 (épuisé).

– Les secrets du Jeûne et du Pélerinage, Al-Ghazâlî, éd. Tawhid, Lyon, 1993.

– Le Livre des Définitions (Kitâb at-Ta’rîfât), trad. intégrale et index nombreux avec introd. de Pierre Lory, Presses universitaires d’Iran, Téhéran, 1994.

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