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Le Maroc veut produire 5 millions de masques par jour

Le Maroc a rendu obligatoire le port du masque le 7 avril. Il faut maintenant fournir des masques à la population. Des masques à 8 centimes, subventionnés par le gouvernement, sont en vente dans les pharmacies et les épiceries. En cinq jours, 13 millions de masques ont été distribués. Certains masques sont même produits sur place.

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11 commentaires

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  1. “Bravo à nos frères marocains!
    Je vous demande juste un petit service, si vous pouvez au nom du bon voisinage et de la fraternité humaine, deux ou trois cartons de masques à notre président algérien!!!
    Et si vous pouvez lui envoyer aussi quelques sacs de pomme de terre”‘
    La hawla wa la quouata Illa Bi Allah al aliyi aldim.
    Et moi qui pensait que pensais que le fond du golf du mexique avec es 11200 metre de profonfeur était le niveau le plus bas du monde… j’étias très loin de la réalité, il suffit de lire certains posts sur le portail.

  2. Maroc : les spéculateurs s’accaparent des 5 millions de masques produits chaque jour
    Le Maroc a décidé de produire 5 millions de masques par jour pour pouvoir faire face à la forte demande depuis le début de la pandémie du covid-19. Des circuits de distribution ont été définis par l’État, mais le gros lot de masques est récupéré par les spéculateurs qui les revendent à des prix exorbitants.
    Malgré les circuits de distribution définis par l’État, les spéculateurs s’emparent de grosses quantités pour les revendre au prix fort. Difficile d’avoir les masques dans les centres commerciaux ou les épiceries, tel qu’annoncé par le ministre du Commerce. Pourtant, le Maroc produit 5 millions de masques par jour qui disparaissent comme par enchantement. Une situation qui a contraint certains à réutiliser plusieurs fois les masques “grand public”, de peur d’être pénalisés.
    Face aux plaintes des centres commerciaux en rupture de stock, diverses raisons sont avancées. Pour certains, cette fausse pénurie est d’abord due au manque de contrôle du circuit de distribution que l’État avait défini pour les sociétés de production. Pour d’autres, c’est le prix de vente réglementé qui pousse les intermédiaires et les spéculateurs à s’emparer des masques pour les revendre à un prix supérieur à celui fixé par les pouvoirs publics.
    “La plupart des commandes faites par les commerçants aux sociétés de production de masques, ne sont satisfaites qu’en partie”. Le plus gros des commandes est “détourné par les intermédiaires pour une revente au prix fort, atteignant parfois jusqu’au triple du prix d’origine”, et créant une rupture de stock au niveau des circuits réguliers.
    Certains estiment que le prix réglementé de 80 centimes l’unité, profite aux seuls intermédiaires et aux spéculateurs, qui ont acheté de grosses quantités de masques pour les revendre avec une forte marge bénéficiaire.

    • boubou : Ce n’est pas vrai, tout le monde sait, que le musulman, est l’ être humain le honnête, le plus juste, il ne pourrait en aucun cas abuser ses frères de la Oumma, vous allez croupir en enfer, pour avoir osé dire de tels choses !

  3. Bravo à nos frères marocains!
    Je vous demande juste un petit service, si vous pouvez au nom du bon voisinage et de la fraternité humaine, deux ou trois cartons de masques à notre président algérien!!!
    Et si vous pouvez lui envoyer aussi quelques sacs de pomme de terre!
    Merci, vous êtes très gentils.

  4. Je ne comprends pas qu’en france, avec sa puissance industrielle, on n’a distribué que deux masques par jour aux personnels hospitaliers???
    c’est la france quand même et pas le maroc
    A mon avis, une fois passée la pandémie incha Allah, l’état a des soucis à se faire.

    • Il ne faut pas tout mélanger, le masque ne protège pas de tout. En France on n’est pas si mal que ça, le gouvernement franchement gère la situation comme il le peut, les moyens mis en place sont quand même énormes, malheureusement les gens ne voient que ce qui ne va pas, c’est à dire l’histoire des masques.
      De plus il faut comparer les systèmes de santé, au maroc il y a 70 médecins pour 100 000 habitants, En france c’est 310 médecins pour 100 000 habitants.
      D’autre part les hôpitaux français et marocains ne sont pas comparables, par la qualité ds soins et la densité. !le filet social français n’a rien à voir avec celui des pays africains ou maghrébins.
      Ce que je veux dire par là, l’accès aux soins n’est pas du tout pareil en France et au Maroc.
      C’est pour cela que le gouvernement marocain mise tout sur la prévention car les gens connaissent bien le système de santé du pays. Ce que je dis là est aussi valable pour les autres pays maghrébins et africains.
      Ce qu’il faut savoir aussi, c’est qu’en Afrique en général, beaucoup de gens ne sont pas salariés, il se débrouillent comme ils le peuvent pour gagner leur croûte, le confinement veut dire pour eux plus de quoi subvenir à leur besoins, les états ne peuvent mettre en place des plans d’aides comme les pays européens, par manque de moyens. Le fait de rendre le masque obligatoire cela permettrait à moindre aux gens de pouvoir continuer à travailler, ce qui éviterait une crise sociale très grave.

      • Vous allez trop loin de mon propos terre à terre.
        D’abord, je confirme qu’aucune comparaison entre le système de santé en france et celui du maroc que je peine même à qualifier de système.
        Mon étonnement est qu’une proche en milieu hôspitalier à la Rochelle nous a informé qu’ils avaient eu droit à deux masques par jour !!!! -sachant qu’un masque doit aller à la poubelle toutes les 3 heures – .
        J’ai du mal à imaginer ça en france.
        Ca se trouve que le matériel que le maroc utilise pour fabriquer nos masques vient en partie de france. Il y a même de fortes chances

    • En temps normal, le besoin en masques chirurgicaux en France est de l’ordre de 200 000 par jour. Aujourd’hui, en pleine pandémie, il est de 5 millions. Le problème n’est pas l’outil de production, mais le stock. Effectivement, à quoi servirait un outil de production industriel de 5 à 10 millions de masques jours si, dans quelques mois, le besoin chutait. On fermerait les usines ? Le stock (2 milliards), qui n’aurait pas dû être diminué après la pandémie H1N1, aurait fait le tampon et aurait permis d’ajuster la production industrielle et les importations sur le moyen terme.
      Par ailleurs, les importations vers l’Europe sont souvent les bienvenues dans les pays producteurs à plus faible coût de production.

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