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Tunisie : procès d’une étudiante accusée de blasphème

Une étudiante tunisinenne, Emna Chargui, est jugée pour avoir relayé sur les réseaux sociaux une sourate du Coran détournée pour inciter les gens à se laver les mains contre le Covid-19.

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3 commentaires

  1. Il faut respecter la croyances des gens surtout qu’en Tunisie la majorité du peuple est musulman.

    Quelle essaye de deconner avec la Shoah et elle va comprendre que notre religion musulmane est empreinte de pardon et de compassion.

    Un avertissement lui suffira pour comprendre qu’elle a vexé un nombre de croyant et que ceci n est pas souhaitable dans un pays musulman ou la liberté s arrête devant la religion.

    Car après les dérives peuvent devenir viral et ont se dit “Tiens pourquoi pas donc insulter le prophète de l ‘islam après tout je suis libre” Évitons ces dérives en terre d’islam

  2. La mainmise des FM sur la révolution tunisienne se confirme jour après jour. Quant à la fable du “pas de contrainte en religion”, défense de rire. Islam ou liberté, il faut choisir. J’espère qu’on fera bon accueil aux étudiants tunisiens qui fuiront la dictature. Vu que le printemps arabe de ce pays est terminé.

  3. Ce procès est un test : soit la Tunisie continue de lutter contre l’Obscurantisme, soit elle y retourne lentement.

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