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La psychiatre palestinienne, Samah Jabr, élue Personnalité de l’année 2015

En hausse constante, pour notre plus grande satisfaction, votre participation nombreuse (près de 63 000 clics) à notre quatrième grand classement annuel a plébiscité une femme en blouse blanche d’exception, à qui la palme d’or décernée par vos votes électroniques sied si bien : la psychiatre palestinienne aux multiples talents qui impressionne par sa capacité à agir sur bien des fronts, le Dr Samah Jabr.

Soyez chaleureusement remerciés pour votre engouement qui ne se dément pas, bien au contraire, et qui permet, cette année encore, de mettre en pleine lumière, dans une époque troublée et obscurcie, trois personnalités remarquables parmi les dix candidats en lice, tous plus compétents, courageux et méritants les uns que les autres.

 

Le Dr. Samah Jabr consacrée Personnalité de l’année 2015

C’est vers elle que s’est porté nettement votre choix, la psychiatre de renommée internationale et directrice du Centre médico-psychiatrique de Ramallah, qui se double d’une universitaire faisant autorité dans son domaine et d’une écrivaine engagée, n’a cessé de creuser l’écart avec ses deux principaux rivaux au fil des jours, se hissant au sommet de notre classement en totalisant 35% de vos suffrages.

Plus habituée à panser et dénoncer « les traumatismes cachés de la vie sous occupation » qu’à être couverte de fleurs, la détermination sans faille de Samah Jabr qui n’a d’égal que sa parfaite maîtrise de sa discipline et sa profonde empathie envers les siens en grande souffrance force indéniablement l’admiration, en l’occurrence la vôtre.

En attendant de recueillir ses impressions et de publier le message personnel de sympathie qu’elle ne manquera pas de vous adresser depuis Ramallah, nous vous proposons de voir ou revoir son intervention marquante sur le plateau de « L’Esprit d’Actu ».  

 

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Classé numéro deux : Hosni Maati

  

L’avocat plein d’éloquence qui lutte dans les prétoires, à coup d’articles de loi, contre les discriminations, l’islamophobie et la négrophobie, a marqué durablement les esprits pour avoir fait éclater au grand jour la pernicieuse malhonnêteté intellectuelle de Caroline Fourest, condamnée pour diffamation dans l’affaire de l’agression de la jeune Rabia. Hosni Maati pointe à la deuxième place de notre trio gagnant en remportant 20% des voix.

La finesse de ses analyses et sa grande clairvoyance font régulièrement les belles heures de OummaTV, et ont dernièrement enrichi les échanges de très haute tenue avec le théologien Mohamed Bajrafil, au cours de l’émission de « L’Esprit d’Actu » consacrée aux conséquences des attentats du 13 novembre et aux dérives d’un état d’urgence qui dure au-delà de la limite légale et du raisonnable. Hosni Maati, un avocat de talent qui a choisi de pourfendre les injustices criantes dans une société française où la résurgence de certains vieux démons les fait à nouveau proliférer dangereusement.

Classé numéro trois : Aymeric Caron

C’est sans conteste le plus médiatique et médiatisé des trois lauréats, l’ex-chroniqueur de l’émission des noctambules du samedi soir « On n’est pas  couché » qui a, entre autres hauts faits d’armes, fait perdre de sa superbe à la « serial-menteuse » préférée des salons parisiens, Caroline Fourest, lorsqu’elle affirmait avec un culot monstre avoir « gagné son procès en appel dans l’affaire Rabia », se classe troisième, emportant l’adhésion de 15% des votants. 

Le journaliste qui ne s’en laisse pas conter ferme ainsi la marche de l’édition 2015 de notre classement de l’année, précédé désormais par sa réputation d’empêcheur de penser en rond dans la vaste hypocrisie ambiante.

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