C’est d’un geste rageur, le visage défiguré par la haine, qu’un nervi de l’extrême droite anglaise (EDL), venu en découdre à Birmingham, a soulevé son maillot de football pour montrer à la face du monde son tatouage menaçant : la représentation d’une mosquée, au milieu de laquelle est inscrit un « boom » explosif…
Des terroristes en puissance, hommes et femmes, ont terrorisé, samedi dernier, les rues de la deuxième ville la plus importante de Grande-Bretagne, au son de leurs cris de guerre islamophobes et de leur démonstration de force d’une violence inouïe, dont cette photo est une illustration terrifiante.
La prise du vue du jour a fait le tour des réseaux sociaux, provoquant une forte onde de choc émotionnelle à la hauteur de sa provocation odieuse, mais l’histoire ne dit pas si le militant déchaîné, grimaçant, et facilement identifiable, a été interpellé.
L’extrême dangerosité de l’EDL et le sentiment de toute-puissance qui anime ses hordes barbares ont éclaté au grand jour à Birmingham, au cours d’un samedi noir qui a mis la police en panique, le nombre d’infractions graves commises par les ultras du néo-fascisme britannique ayant battu des records de sauvagerie.
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