Des négociations avec la société américaine Chevron, connue pour ses conquêtes dans le domaine du gaz de schiste, ravivent les inquiétudes dans un pays qui peine à sortir de sa dépendance des hydrocarbures. En attendant, les énergies renouvelables restent le parent pauvre.
Plusieurs indices laissent penser que l’Algérie reprendrait bientôt ses explorations du gaz du schiste, après avoir annoncé officiellement l’abandon du projet depuis 2019. C’est ce que les observateurs ont commencé à comprendre à l’annonce des pourparlers, le 6 février, entre le géant américain Chevron et la compagnie algérienne Sonatrach, pour exploiter le gaz dans le sud du pays. Selon une déclaration sanctionnant ces premières négociations, il s’agit des gisements d’Ahnet, Gourara et Berkine, connus pour leurs potentialités en gaz naturel, mais aussi en… gaz de schiste.
Un stock équivalent à 500 ans de consommation de gaz en France
Ces réserves algériennes en gaz de schiste, estimées à 20 000 milliards de m3 et qui classent le pays à la troisième place derrière la Chine et l’Argentine, attisent les convoitises des grandes firmes mondiales. Pour se faire une idée, cela correspond à 500 ans de consommation de gaz en France.
De nouvelles appréhensions qui ravivent, dans l’opinion, la bataille déclenchée en 2015 par des associations et des militants écologistes qui ont manifesté pendant des mois sur les lieux même destinés à ces travaux, dans le sud. Ils contestaient une loi votée en 2013 autorisant pour la première fois l’exploitation du gaz de schiste. (…)
Un gaz très polluant, une industrie périlleuse
Le gaz de schiste est un gaz naturel contenu dans une roche feuilletée souvent argileuse. Il s’extrait par voie de forage qui génère de grandes quantités d’eau polluée, que les exploitants cumulent dans des bassins construits sur le sable même, dont l’étanchéité n’est jamais garantie.
Révolution Energétique
Il faut beaucoup d’eau pour exploiter le gaz de schiste. Comment faire dans le désert du Sahara ?
Les Européens dés la crise Ukrainienne ont opté pour la gaz de schiste américain bien qu’ils le payent 10 fois plus cher que le Gaz Russe Même les écologistes Allemands ont baissé la tête devant les décisions américaines Les impératifs géostratégiques dominent les décisions politiques Une analyse correcte et cohérente s’impose dans la cas de l’Algérie et son gaz de schiste
Les Sociétés Européennes ont condamné l’exploitation du “Gae de schiste” mais dés la crise Ukrainienne ils ont d”écidé de fermer les yeux sur ce “Gaz de schiste qu’ils vont payer 10 fois plus cher que le Gaz Russe et personne n’a osé condamner comme vous le faites pour l’Algérie qui a l’intention de vouloir savoir ou cela peutr la mender L’Aveznir de l’Algérie est entre les mains de ses citoyens
Le gaz et pétrole dit de schiste n’est pas d’exploitation pertinente en pays chaud et sec, car où trouver l’eau pour cette fracturation hydraulique?
Pareil pour l’hydrogène qui demande de l’eau, sauf si les techniques ont changé, pour l’instant du point de vue des populations, ce n’est pas pertinent et n’apporte pas la richesse, au contraire ça augmente la misère.
Croissant de lune.