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Amel Bent, aujourd’hui non voilée, demain peut-être…

Fière de ses origines mixtes, un père algérien et une mère marocaine, et assumant pleinement sa foi musulmane, la jeune chanteuse de 24 printemps, dont la success story musicale ne se dément pas depuis la « Nouvelle Star », ne craint pas de se faire l’ardente avocate du port du voile au beau milieu de la promotion de son troisième album au titre évocateur « Où je vais ».

Rien ne saurait déstabiliser dans ses convictions les plus profondes Amel Bent, pas même le climat ambiant, anxiogène et culpabilisant, ni le lynchage médiatique qui a violé, sans état d’âme, l’intimité spirituelle de sa consoeur Diam’s.

« Porter le voile n’est pas une soumission. Ma grand-mère le porte, c’est une battante, ça ne l’a jamais empêchée d’avancer dans la vie », s’est exclamée Amel Bent dans un entretien vérité au magazine people Closer, confiant avec sérénité son attirance personnelle pour ce signe distinctif honni de la République, qu’elle pourrait envisager un jour de transformer en choix de vie : « Moi, je ne le porte pas. C’est un choix sans en être un, je vis entre deux cultures. Mais j’espère un jour le faire quand je serai mariée. Pour moi, c’est un acte libérateur ; c’est qu’on est allée au bout de sa pensée et de son choix religieux”.

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Une honnêteté indéniable qui honore la jeune star vivant entourée des siens, a fortiori quand on perçoit déjà les irrépressibles cris d’orfraie qu’une telle confession publique pourrait déclencher chez les bien-pensants…

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