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Chômage, corruption, endettement, inflation, la Tunisie est engluée dans de graves difficultés économiques qui ont provoqué plusieurs manifestations durant ces derniers jours, faisant un mort et plus de 200 arrestations. Invité de l’Esprit d’actu, Tawfik Mathlouthi, spécialiste de la Tunisie, qui connaît personnellement tous les acteurs majeurs du système de ce pays, estime que pour sortir de la crise actuelle, il convient de renouveler tout le personnel politique tunisien qui a totalement échoué et démontré son incompétence. Il affirme également qu’il existe une alternative à la politique d’austérité du gouvernement dirigé par le Premier ministre Youssef Chahed, en opérant des choix économiques d’avenir qui permettront de sortir de la rente touristique.
C’est fou, le sujet qui concerne le sujet sur la Tunisie, personne ne réagit, comme s’il n’y a pas de Tunisiens de par le monde, qui lisent ce bulletin et qui sont capables de nous inspirer des solutions, de par leurs expériences dans le Monde.
Ce mot OUMMA, peut être sur ce site n’est qu’un mot, mais pour moi, il a un sens profond, Il provoque en moi des larmes de joie et très rarement et des larmes de tristesse la plus part du temps.
La Tunisie, Il faut créer une monnaie de substitution, qui ne sert pas au changes. et diminuer de 300 % les coûts et les salaires, afin que nos revenus soient suffisant pour survivre. De même, il faut encadrer le coût du bâtiment et des terrains. à 50. 000. 000 l’hectare quel culture faut-il faire pour amortir, et quel investissement faut -ii y ajouter pour exploiter la terre, dans un pays agricole et qui n’a jamais pu se convertir en industriel. Pour mettre en eouvre une politique complète, il faut peut être qu’on puisse s’exprimer et qu’on nous écoutes. Il y a toujours les mêmes personnes qui cherchent à faire fortune à leur tour, ni plus ni moins. ceux qui sont sincères perdent de leur efficacité
Le problème avec les dictatures est que lorsque la tête tombe le système (et ses acteurs) qui l’a soutenue ne disparaît pas pour autant. On le voit en Tunisie, en Égypte, au Myanmar.. Même la Russie contemporaine a réinventé le culte de la personnalité. Les intérêts anciens (financiers, militaires, internationau,. etc.) dominent toujours le vernis démocratique. Les vrais changements, ceux qui sont radicaux, au sein des États sont exceptionnellment rares. On peut penser au Chili, ou à l’Afrique du Sud, et dans ce dernier cas, c’est loin d’être parfait.
Vous oubliez les Etats Unis de Trump !!!!