Le procès de l’Australien de 29 ans, qui a été reconnu coupable de 51 meurtres et de 40 tentatives de meurtre et d’un chef d’accusation de terrorisme en 2019, est entré lundi dans sa dernière ligne droite.
Le suprémaciste blanc Brenton Tarrant, qui avait assassiné 51 fidèles musulmans en 2019 en Nouvelle-Zélande, est resté, lundi 24 août, impassible quand des survivants et le procureur sont revenus à l’audience sur les longues minutes d’horreur dans deux mosquées de Christchurch. Le procès de l’Australien de 29 ans, qui a été reconnu coupable de 51 meurtres et de 40 tentatives de meurtre et d’un chef d’accusation de terrorisme, est entré, lundi, dans sa dernière ligne droite. Le tribunal de Christchurch devrait annoncer, jeudi, la peine. Alors que le tueur avait assisté par vidéoconférence, dans sa prison de haute sécurité d’Auckland, aux précédentes audiences, il était présent, lundi, dans le tribunal. C’était ainsi la première fois qu’il se trouvait confronté aux survivants et aux familles depuis les attaques du 15 mars 2019.
Il ne sortira jamais de prison et il méritait la mort. N’oublions pas toutefois que la plupart des terroristes dans le monde ne sont pas des suprémacistes blancs.