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«Les oliviers poussent encore à Gaza», le beau documentaire inspiré du poème de Ziad Medoukh

Grâce au réalisateur palestinien Saud Muhanna, l’ode vibrante à l’espérance « Les oliviers poussent encore à Gaza », composée par l’écrivain et poète francophone Ziad Medoukh, ne se récite plus seulement à haute voix.

Magnifiquement mise en scène, elle célèbre désormais la cueillette des olives, ce moment fort de la vie de la société palestinienne, et, à travers elle, l’amour inaltérable que portent les Palestiniens à leur terre, dans un documentaire de 6 minutes. Le premier d’expression française entièrement tourné en Palestine.

Mettre des images sur un poème que déclame avec brio Rwan Shawa, diplômée de langue française de l’université de Gaza, à partir du scénario élaboré par les formidables bénévoles, tous francophones, de l’association «Gaza, la vie», tel est le défi que s’était fixé le très inspiré Saud Muhanna.

Après avoir récemment publié le poème de Ziad Medoukh, nous vous invitons à découvrir le beau documentaire qui l’illustre. Un film qui, pour jeter une lumière crue sur la tragique réalité de Gaza, n’en est pas moins plein de poésie.

« Ce film est un puissant message qui témoigne de l’amour immuable que portent les Palestiniens à leur terre ancestrale, à l’image de leurs oliviers qui sont profondément enracinés dans la terre de Palestine. Ce témoignage est l’expression d’une résistance pacifique pour une vie future pleine d’espoir, à la fois pour eux-mêmes, leurs enfants et les générations à venir. 

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Le réalisateur, les producteurs, et l’ensemble des membres de l’association « Gaza, la vie», sans oublier tous les jeunes francophones de la bande de Gaza, confirment, à travers le film, que Gaza garde l’espoir d’une vie meilleure et que la Palestine continue, envers et contre tout, à s’accrocher à la vie. 

Ziad Medoukh tient à exprimer sa chaleureuse gratitude au photographe Mohamed Madhoun, à la société de production IPM, à la famille Khozndar, ainsi qu’aux jeunes francophones de Gaza, pour leurs efforts et leur participation à la réalisation de ce remarquable documentaire, en nourrissant l’espoir qu’il pourra être projeté dans les salles de cinéma des pays francophones ».  

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