Des sécheresses de plus en plus fréquentes, des tempêtes de sable plus nombreuses, et le prix du carburant qui augmente à cause de la guerre en Ukraine : pour les agriculteurs en Irak, la situation est critique. Mais ce sont les 41 millions d’Irakiens qui ressentent quotidiennement les conséquences des pénuries d’eau et du réchauffement climatique : désertification, tempêtes de sable à répétition, chute des précipitations et baisse du niveau des fleuves. A Bagdad, on prévoit que la récolte au niveau national n’atteindra pas trois millions de tonnes de blé cette année. Il faudra importer, reconnaît le gouvernement.
Chargement…