Depuis dix ans, la petite pétromonarchie s’est lancée dans un gigantesque programme de constructions tous azimuts pour préparer la Coupe du monde 2022. Pour achever les chantiers, il fait appel à une main-d’œuvre immigrée, majoritairement du sous-continent indien, et qui travaille et vit dans des conditions déplorables.
Les ressortissants d’autres pays, notamment les Philippines et le Kenya, ne sont pas comptabilisés, ni les derniers mois de l’année 2020.
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