Le porte-parole du parti au pouvoir en Birmanie a affirmé lundi que la dirigeante Aung San Suu Kyi avait été arrêtée et a accusé l’armée d’organiser un “coup d’État”. Un peu plus tard, l’armée a déclaré l’état d’urgence pour un an et transféré le pouvoir à son commandant en chef, le général Min Aung Hlaing. La communauté internationale a vivement condamné ces agissements.
Rappelons également qu’en mars 2018 Aung San Suu Kyi avait été déchue du prix Elie Wiesel pour son inaction coupable envers la minorité musulmane Rohingya.
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