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Antisémitisme et antisionisme: vidéo du rassemblement devant l’Assemblée Nationale pour dire “Non” à la proposition de résolution Maillard

Rassemblement du lundi 2 décembre devant l’Assemblée Nationale pour dire “Non” à la proposition de résolution sur l’antisémitisme du député Maillard. Cette résolution assimile l’antisionisme à l’antisémitisme, en précisant que “critiquer l’existence même d’Israël, en ce qu’elle constitue une collectivité composée de citoyens juifs, revient à exprimer une haine à l’égard de la communauté́ juive dans son ensemble”.

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5 commentaires

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  1. Une république “laïque” qui défend la création d’un État sur une base uniquement religieuse n’est plus une république laïque. De fait, elle impose une fausse croyance. Reconnaître le sionistan sur la base de de Bible est une prise de de position religieuse quoiqu’on dise. Que d’hypocrisie et de double standard. Rassurez-vous frères et soeurs juifs, nous ne vous confondons pas avec les crapules sionistes car ces derniers ne sont pas uniquement juifs mais également athées et chrétiens évangélistes. C’est une honte que de vous coller l’antisionisme sur le dos alors que c’est très complexe. J’espère que cela ne passera pas parce que cela envoie un très mauvais message et ne présage rien de bon.

  2. Appel de 127 intellectuels juifs aux députés français : « Ne soutenez pas la proposition de résolution assimilant l’antisionisme à l’antisémitisme »
    Tribune

    Un collectif du monde entier appelle les élus à ne pas apporter leur soutien à ce texte, qui doit être débattu dès mardi.

    [Les députés doivent se prononcer, mardi 3 décembre, sur une proposition de résolution visant à lutter contre l’antisémitisme, déposée par le député La République en marche (LRM) Sylvain Maillard. Controversé, ce texte propose que la France adopte, à la suite du Parlement européen, la définition de l’antisémitisme établie par l’Alliance internationale pour la mémoire de l’Holocauste (IHRA), en 2016. Celle-ci inclut « les manifestations de haine à l’égard de l’Etat d’Israël justifiées par la seule perception de ce dernier comme collectivité juive », rappelle le texte de M. Maillard. Lors du dîner du Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF), le 21 février, le président de la République Emmanuel Macron s’était dit favorable à l’adoption de cette définition non contraignante, jugeant que l’antisionisme constitue « une des formes modernes de l’antisémitisme ».]

    Tribune. Le 3 décembre, l’Assemblée nationale va débattre et voter une proposition de résolution sur la lutte contre l’antisémitisme. Cette résolution est hautement problématique.

    Nous, universitaires et intellectuels juifs, d’Israël et d’ailleurs, dont beaucoup de spécialistes de l’antisémitisme et de l’histoire du judaïsme et de l’Holocauste, élevons notre voix contre cette proposition de résolution.

    La montée de l’antisémitisme dans le monde, y compris en France, nous préoccupe profondément. Nous considérons l’antisémitisme et toutes les autres formes de racisme et de xénophobie comme une menace réelle contre laquelle il convient de lutter avec la plus grande fermeté, et exhortons le gouvernement et le Parlement français à le faire.
    Article réservé à nos abonnés Lire aussi Antisémitisme et antisionisme : l’Assemblée nationale face à la controverse

    Tout en soulignant fermement notre préoccupation, nous nous opposons à la proposition de résolution sur l’antisémitisme pour deux raisons principales, et appelons les députés de l’Assemblée nationale à ne pas y apporter leur soutien.

    Premièrement, l’exposé des motifs de la proposition de résolution associe l’antisionisme à l’antisémitisme. Il assimile même l’antisionisme à l’antisémitisme en précisant que « critiquer l’existence même d’Israël en ce qu’elle constitue une collectivité composée de citoyens juifs revient à exprimer une haine à l’égard de la communauté juive dans son ensemble ».

    Pour les nombreux juifs se considérant antisionistes, cet amalgame est profondément injurieux

    Avant de poursuivre notre argumentation, nous déplorons que l’exposé des motifs désigne Israël comme « une collectivité composée de citoyens juifs ». Environ 20 % de la population d’Israël sont des citoyens palestiniens, dont la plupart sont musulmans ou chrétiens. La désignation choisie occulte et nie leur existence. Nous considérons cette approche comme très problématique, compte tenu également de l’engagement de votre pays en faveur d’une définition de la citoyenneté française qui n’est pas basée sur l’ethnicité.

  3. L’éxistance d’Israël vous dites.

    Israël est le prophète Yacob que la paix soit sur lui. Aucun musulman ne doute sur son existence.

    Je reconnaîtrais l’état d’Israël , quand on appellera la France Jésus, l’Algérie Mahomet , l’Egypte Moise l’Irak Jonas et l’ONU l’organisation des prophètes.

    Le reste du monde n’a plus raison d’exister, USA, Chine , Argentine, Chili, Brésil, Russie et toute l’équipe à balayer.

    Le sionisme est le Nazisme du nouveau siècle.

    Le sémitisme reste l’histoire.
    Les arabes sont plus sémites que les juifs.
    Les arabes existaient avant le prophète Ibrahim (Abram) paix soit sur lui.

    Les juifs avant le prophète Israël (paix soit sur lui) n’existaient pas.
    Le père des prophète Abram n’est pas juif ni chrétien, mais Hanif.

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