Dans cette nouvelle guerre mondiale que livrent sans relâche les soignants, ces héros universels en blouse blanche, au redoutable ennemi invisible que constitue le Coronavirus, Usama Riaz, 26 ans, est le premier médecin pakistanais à être tombé au front.
Avec pour seules armes son savoir et son abnégation, ce jeune praticien promis à un bel avenir aura vaillamment lutté, jusqu’au sacrifice de sa propre vie, contre plus fort que lui : un puissant virus sans frontières qui ne fait pas de quartier. Un virus impitoyable qui l’a fauché mortellement, sans coup férir ou presque, car ce dernier était parti au combat sans armure…
Rendu très vulnérable par la pénurie d’équipement de protection adéquat, le Dr Usam Riaz a soigné pour la dernière fois, vendredi 20 mars, avec le dévouement qui le caractérisait, une vingtaine de patients contaminés par le Covid-19, dans le centre d’isolement situé au cœur du Gilgit-Baltistan, une région sous administration pakistanaise. A la fin d’une journée de travail harassante, il s’est écroulé sur un lit dont il n’a jamais pu se relever. Le lendemain matin, le diagnostic est tombé comme un couperet : le virus avait eu raison de sa farouche résistance.
Transporté d’urgence dans un hôpital militaire, il a été immédiatement placé sous assistance respiratoire, avant de rendre son dernier soupir deux jours plus tard.
Salué en héros national par son pays, le Pakistan, qui compte désormais plus de 1 000 personnes contaminées et refuse, pour l’heure, d’instaurer un confinement national, le Dr Usama Riaz a rendu les armes lundi 23 mars, au terme d’une ultime bataille pour sa survie. Pour ses concitoyens qui le pleurent aujourd’hui, le jeune médecin valeureux, qui se faisait une si haute idée de sa mission salvatrice, est mort au champ d’honneur.
Parmi les nombreux hommages qui lui ont été rendus, celui de l’influent imam américain, Omar Suleiman, président de l’Institut Yaqeen de recherche islamique à Irving, dans le comté de Dallas, a particulièrement touché ses proches accablés de douleur.
« Voici le Dr Usama Riaz. Il a passé des semaines à dépister et traiter des patients atteints du virus Corona au Pakistan. Il savait qu’il n’y avait pas d’équipement de protection, et malgré cela, il a quand même persisté. Aujourd’hui, il a perdu sa propre bataille contre le coronavirus, mais il a redonné vie et espoir à tant d’autres. N’oubliez jamais son nom », a-t-il écrit, ajoutant : « Si vous sauvez une vie, c’est comme si vous aviez sauvé toute l’humanité, stipule le Coran. Son histoire et l’histoire de tous les combats sacrificiels menés par des hommes d’exception doivent être gravées dans le marbre. Il s’agit de sacrifice, d’héroïsme et de martyre ». Puisse-t-il reposer en paix.
Innâ lillahi wa innâ ilayhi râji’ûn (إنّا لله و إنّا إليه راجعون)
Qu’Allah accepte son sacrifice et le récompense éternellement. Amine
Qu’Allah l’accueille en son vaste paradis, qu’Allah donne de la patience et du courage à sa famille. Amine
Honte à ce galicien au cerveau détraqué qui insulte la mémoire d’un héros en faisant des amalgames grotesques et puants.Peut il tenir des propos aussi nauséabonds à propos des médecins et autres soignants morts chez nous ,insuffisamment protégés!!!
Il soigne sans protection c’est du suicide ,il a cru qu’il était protégé par Allah , finalement il va aller au paradis des bédouins les rivières de lait, les vierges, et le miel, il est plutôt chanceu.
Oui en effet des rivières de lait, de miel et de vin petit être insignifiant.
Et toi si tu meurs dans cet état, tu pourriras dans un trou de la GÉHENNE ETERNELLEMENT.
Simple.
RamatoullAllah er lih