Le président tunisien Kais Saied a remis en cause le moratoire sur la peine de mort observé depuis 30 ans en Tunisie en se disant favorable à son application après le meurtre d’une jeune femme, une prise de position aussitôt critiquée par des ONG. La semaine passée, Rahma, 29 ans, disparue à la sortie de son travail, a été retrouvée morte dans un fossé sur l’autoroute. Correspondance de Maurine Mercier.
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