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Pourquoi l’Europe est-elle toujours dépendante des États-Unis ?

Rencontre avec Pascal Boniface, directeur et fondateur de l’IRIS, auteur du livre   “Requiem pour le monde occidental” paru aux éditions  Eyrolles. Dans cette première vidéo, il explique pourquoi l’Europe est toujours dépendante des États-Unis.

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Pourquoi l'Europe est-elle toujours dépendante des États-Unis ?

Pourquoi l'Europe est-elle toujours dépendante des États-Unis ?Rencontre avec Pascal Boniface, directeur et fondateur de l'IRIS, auteur du livre "Requiem pour le monde occidental" paru aux éditions Eyrolles. Dans cette première vidéo, il explique pourquoi l'Europe est toujours dépendante des États-Unis.

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Publiée par Oumma.com sur Vendredi 15 février 2019

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10 commentaires

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  1. Toujours un plaisir d’entendre le discours intéressant et avisé de l’excellent M. Pascal Boniface…
    La présentation de son livre « requiem pour le monde occidental » à l’avant-gout amer d’un monde finissant qui marche un peu sur la tête, qui agit sans réfléchir par réflexe mais aussi peut-être par lâcheté, par manque d’audace, par facilité empêtré dans une fausse croyance…
    D’ailleurs, c’est vrai pourquoi l’Europe s’entête à afficher une dépendance à une Amérique sur le retour ? Comment considérer que le fer de lance, le guide-âne de nos sociétés rationnelles n’est autre que la puissance de la force de la simple « habitude ». La même que celle qui « ceinture » l’individu dont parlait la chanson… Aujourd’hui et ainsi posée il est vrai que la question nous saute aux yeux vu la déliquescence des dirigeants américains… Alors, qu’il aurait fallu bien au contraire marquer le pas de la distanciation et de la différence…
    Cela nous renvoie tout droit à la notion de « requiem » d’un occident bedonnant qui ne tient plus, usé par la force de l’habitude. Ne sachant plus se renouveler que dans les détails alors qu’il aurait dû avoir à cœur de marquer avec détermination son empreinte par son savoir-faire, son rayonnement diplomatique, son charisme juridique et un édifice rationnel et égalitaire… C’est le retour et l’impact de cette posture qui lui aurait donné l’impulsion du renouvellement … Il en avait largement les moyens vu le nombre impressionnant des récents territoires émergents qui ne demandaient qu’un exemple vers lequel les regards devaient trouver à se tourner… Dommage pour le contrat gagnant-gagnant qu’aurait procuré ce nouveau souffle…
    MercI pour ce livre…

  2. Ce n’est pas une affaire de socialisme et de capitalisme. C’est une affaire de gouvernement. Si ceux qui sont à la tête de l’État et des institutions sont des hommes et des femmes justes, aimant leurs concitoyens et désirant servir l’intérêt général, les choses se passent bien et le bonheur de tous devient le but ultime de toute action politique. Si, en revanche, le gouvernement est détenu par des égoïstes, malhonnêtes, orgueilleux, ne partageant pas les rêves et les aspirations de la majorité et n’ayant comme objectif que leurs propres intérêts, plus d’enrichissement personnel et plus de pouvoir sur les autres, les relations sociales vont nécessairement s’envenimer et le poison qui habite l’âme des gouvernants fini par empoisonner l’ensemble du pays et de la nation.

  3. Les Etats Unis sont le pays le plus démocratique, le plus libre, le plus attrayant, le plus dynamique, le plus fort. L’Europe évolue vers une Eurabie de plus en plus faible donc de plus n plus dépendante d’un pays plus fort pour garantir sa sécurité. Et heureusement que nous ne sommes pas dépendants de la Russie. Tous les pays de l’Europe de l’Est sont ravis d’avoir pu se débarrasser de leur dominante ingérence. Fini ce Pacte de Varsovie avec l’invasion de la Hongrie en 1956 et l’invasion de la Tchécoslovaquie en 1968.

    • Si c’était vrai, ce ne serait pas le pays le plus détesté au monde après Israël, y compris d’ailleurs aux USA eux-mêmes où selon un dernier sondage la majorité des jeunes souhaite le socialisme. Je peux vous dire aussi que dans les anciens pays socialistes, partout la majorité de la population regrette, malgré tous ses défauts bien réels, le régime antérieur qui garantissait un minimum social et des rapports humains non concurrentiels et non basés sur l’usure. Ce que les gens reprochent aux communistes, c’est une seule chose, d’avoir trahi leurs idées, de ne pas avoir contrôlé l’opposition pro-US et d’avoir introduit le capitalisme. Il en va de même en Egypte avec le souvenir de Nasser, en Indonésie avec celui de Soekarno, au Mali avec celui de Modibo Keita et au Burkina avec celui de Sankara.

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