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La langue de bois d’Eric Besson au sujet de Saïd Bourarach

Et oui, toujours lui, mais il faut dire qu’il est sur tous les fronts de la politique la plus sensible et la moins héroïque, où l’on cherche en vain les vestiges d’une splendeur française.

En zélé janissaire du pouvoir, dont il a accepté la feuille de route sans sourciller, Eric Besson s’est retrouvé fort démuni face à un Robert Ménard, fondateur de Reporters sans frontières, et repassé de l’autre côté du micro dans le nouveau face à face quotidien qu’il anime sur Itélé « Ménard sans Interdit », posant les bonnes questions sur un drame scandaleusement passé sous silence, et jeté avec empressement dans les profondeurs des oubliettes politico-médiatiques : l’agression meurtrière de Saïd Bourarach.

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L’embarras de notre ministre de l’Immigration crève l’écran, allant jusqu’à lui faire commettre un lapsus, ô combien révélateur, le tout drapé d’une langue de bois extrêmement parlante…

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