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La création de deux Etats au Proche-Orient, une conviction américaine

Washington persiste et signe : après des décennies d’un conflit israélo-palestinien aux moult rebondissements dévastateurs, seule la solution de deux Etats coexistant l’un à côté de l’autre est susceptible de pacifier une région à jamais meurtrie.

Poursuivant son périple dans le monde arabe en digne missionnaire américain de la douloureuse question du Proche-Orient aux ondes de choc mondiales, l’émissaire spécial, George Mitchell, s’est fait le héraut officiel mardi à Rabat de l’alternative à deux Etats, comptant sur l’effort diplomatique soutenu du Maroc dans ce sens.

Le Maroc, dont le roi Mohammed VI préside le comité islamique Al Qods (Jerusalem) – émanation de l’Organisation de la conférence islamique – qui se réunira début mai dans le royaume afin d’étudier les moyens de déjouer les « politiques illégales » menées par Israël dans la ville sainte, l’a assuré de tout son soutien en soulignant que les négociations allaient reprendre « sur des bases saines », privilégiant la sortie globale et pérenne de cette guerre aux innombrables cessez-le-feu éphémères…

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Une question est cependant sur toutes les lèvres : les tables rondes diplomatiques transigeront sur quels « dessous-de-table » pour infléchir la position résolument hostile du nouveau Premier ministre israélien et de son gouvernement ?

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