Égyptiens, Marocains, Jordaniens… Ils sont des milliers à étudier dans les universités ukrainiennes, très prisées dans les domaines de la médecine et de l’ingénierie. Mais depuis le début de la guerre en Ukraine, ils se retrouvent bloqués. Ils attendent d’être rapatriés dans leurs pays d’origine, mais la situation sur le terrain et le manque d’informations compliquent les choses. Mardi 1er mars, un premier groupe d’étudiants tunisiens a pu rentrer à Tunis. D’autres devraient suivre.
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