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Coronavirus : des patients guéris donnent leurs anticorps pour faire avancer la recherche

Des convalescents du Covid-19 donnent aujourd’hui leur plasma à des chercheurs afin de les aider à développer un traitement contre l’épidémie. Des expérimentations de ce genre se sont déjà avérées efficaces contre d’autres maladies infectieuses comme Ebola ou le Sras.

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12 commentaires

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  1. A l’intention de Z comme zéro, s’agissant des projets de vaccin, ça se gâte, le virus est tellement rusé qu’il échappe à toute surveillance et sagacité. On a presque certainement dépassé les 5000 mutations enregistrées depuis les premiers patiens Chinois, il suffit de l’observer pour qu’il mute, il n’arrête pas. Donc ça va devenir difficile de produire un vaccin qui protège d’une communauté, d’une infinie variété de virus. Sauf si à cette inextricable complexité, on opposait la simplicité, donc la médecine quoi. Essayez de lire cet article jusqu’au bout, je vous dis que ça, le virus sans cesse changeant et se diversifiant, plus ses innombrables inter-actions puisqu’il transforme les environnements hôtes, j’ai entendu dire que le virus a une dent contre Zarathoustra, non c’est à Raoult qu’il en veut le plus parce que le pragmatique Raoult a seul la botte convenable, il oppose la simplicité à la complexité, non Zéro n’a rien à craindre d’un virus qui néglige les sots, Didier Raoult a reçu des menaces de mort qui pour moi viennent du virus ou de ses alliés, ceux qui cherchent et se perdent là où il ne faut pas. Lisez juste ça, essayez de suivre, vous finirais par admettre que la meilleure feinte et botte est celle du père Raoult, de l’anti-viral non spécifique, de l’antibiothérapie, et nous serons bientôt délivrés du coronavirus mais de Zarathoustra je crains que non.
    https://mobile.agoravox.fr/actualites/technologies/article/sars-cov-2-bientot-5000-mutations-223151
    Croissant de lune.

    • Je reconnais bien là votre sournoiserie orientale. Mais comme vous l’avez noté, je suis bien plus rusé mais aussi plus laborieux que vous, caractéristiques issues peut être de mon héritage extrême oriental. Vous pensiez donc que je n’allais pas lire cet article au demeurant fort intéressant et sourcé (une fois n’est pas coutume compte tenu de vos précédentes références) et que vous alliez me perdre dans votre jeu de fausses pistes. C’est loupé et vous allez une fois encore en payer le prix : une énième gifle électronique bien méritée, mon cornichon buté.
      Cet article (comme les études de Raoult que vous affectionnez tant même si vous ne les lisez pas) n’est absolument pas conclusif sur les pistes thérapeutiques ou préventives et encore moins sur la possibilité d’un vaccin. La rapidité de mutation n’est pas un argument. La preuve voici ce qu’on peut y lire :
      « En revanche, le séquençage des virus prélevés dans le monde donnent des indications précieuses aux virologues, par exemple sur la vitesse de mutation, inférieure à celle d’un virus grippal mais néanmoins deux fois celle d’un coronavirus courant. » Et on a bien un vaccin contre la grippe mis à jour chaque année même s’il n’est pas infaillible.
      Voici d’autres extraits fort intéressants, histoire de rassurer avec modération nos lecteurs :
      « D’ici un mois, sans doute 5000 mutations d’acides aminés (soit entre 6 et 7000 bases mutées en incluant les mutations synonymes) dont l’effet global ne devrait pas impacter le tableau épidémiologique. Diminution ou augmentation de la virulence ? Peut-être mais pas de grande ampleur, et sans doute une lente atténuation une fois le virus acclimaté aux humains. »
      « Le seul danger serait une recombinaison capable de générer un virus bien plus pathogène. Si tel était le cas, cela ne se verrait pas dans les analyses génomiques mais par le constat d’un cas groupé de patients présentant un profil clinique distinct de celui du Covid-19. »
      Par ailleurs, on sait que le récepteur ACE2 se retrouve dans de nombreuses cellules, notamment les cellules cardiaques. Ce qui pose deux questions :
      – Le traitement de Raoult peut faire chuter la charge virale mais est-ce qu’il n’aggrave pas les insuffisances cardiaques, présentes ou générées par la maladie ?
      – Le traitement de Raoult élimine-t-il totalement le virus de l’organisme ?
      En effet, puisque Raoult prend comme modèle le VIH qu’il aille au bout du raisonnement :
      – Le coronavirus en infectant différents systèmes via éventuellement le dysfonctionnement du microbiote affole le système immunitaire et provoque en quelque sorte des affections opportunistes qui tuent, comme dans le VIH. Le tropisme ne semble pas que respiratoire mais digestif, rénal, hépatique et plus grave peut être même cardiaque. Ce qui produit un tableau clinique atypique.
      – Le VIH ne s’élimine pas en général et nécessite d’être contenu par un traitement chronique. En d’autres termes, une fois infecté on ne guérit pas. Alors j’attends de voir comment vont évoluer les patients traités à l’HCQ et notamment s’ils auront bien développé les anticorps permettant réellement de vaincre le virus.
      La seule vraie réponse est immunitaire si le virus ne diminue pas en virulence, ne disparaît pas avec le changement de saison, voire continue de circuler avec d’autres coronavirus déjà présents. Donc allez vous comprendre que toute piste en lien avec l’immunité est à creuser au-delà du remède de Raoult : microbiote, vaccin, plasma de convalescent … ?

  2. @cornichon de luxe.
    Inutile de noyer le poisson avec des détails techniques. Vous réalisez juste que vous n’avez même pas considéré l’urgence du moment : traiter les cas graves qui surchargent les hôpitaux avant qu’ils ne deviennent des cas mortels et pour lesquels le traitement de Raoult ne peut rien.
    Après avoir pollué les débats comme d’autres avec votre monomanie, maintenant vous partez en tous sens en parlant de micro-je ne sais pas quoi. Si vous parlez du mcirobiote, oui c’est une autre piste à l’étude. Pour plusieurs raisons :
    – fréquence des troubles digestifs dans les cas de C19
    – multiplication du virus par infection des cellules du tube digestif dont l’intestin (association du récepteur ACE2, présent par ailleurs dans d’autres systèmes de l’organisme, et des protéines S de SARS-CoV-2)
    – axe de communication intestin – poumon, compte tenu de l’influence du microbiote sur les réponses immunitaires pulmonaires, comme l’atteste l’étude de pathologies mettant en jeu le système respiratoire (grippe, asthme, bronchiole, …)
    Et oui il s’agit de poursuivre l’étude de ce nouveau virus, de tester des procédés, nouveaux et anciens, pour adapter les traitements aux différents profils de patients, au degré de sévérité de la maladie, … Sachez d’ailleurs qu’il y a des centaines de médicaments à l’étude dans cette perspective. Le Remdésivir en est un et ce n’est pas un nouveau traitement sorti du chapeau pour faire du blé. Bref, on est loin de votre vision étroite et complotiste qui réduit le champ des perspectives, alimente le mouvement brownien, voir le chaos.

    • @Zéro sur zéro. Mais non, il faut traiter avant, effectivement en amont, le traitement du professeur Didier Raoult n’est pas pertinent au stade évolué, et alors? Les bactéries impliquées, pratiquement seules coupables de l’agravation sans quoi le virus passerait presqu’inaperçu, eh bien ces bactéries sont connaissables, connues, ce serait quand-même étrange qu’on en arrive à conclure qu’une seimple antibiothérapie générale après voire avant dépistage suffise à couper l’herbe sous le pied d’une épidémie dont on a fait grand cas. C’est une idée qui fait son chemin en ce moment, ça plus du zinc en oligoéléments, changements éventuels des habitudes alimentaires vers la variété et moins de sucre industriel, de l’hydroxycholoroquine associée à antibiothérapie si besoin, après test positif, comme ça vos services d’urgences se déchargeraient non? Bien obligé, moins de monde y arrivant. Avec la levée des mesures stupides du confinement général destructeur de substance économique, donc sanitaire, moi je sais pas dissocier les deux. Vivement qu’on en voit le bout et qu’on réduise à zéro l’épidémie dévitalisante de toute société. Isoler les bactéries, enquêter sur lesquelles sont les premières colonisées de ce virus vicieux qui s’y protège, lesquelles sont secondairement colonisées etc, c’est largement dans les cordes des infectiologues Français notamment de la capitale Européenne dans cette discipline, qui est Marseille, lieu où on apprend à des étudiants de tous pays à soigner les gens, lieu de recherche haute et de savoir plutôt que d’ignorance Zémourienne. On se dira, mais que de temps on a perdu? Parce qu’apparemment, ce n’est pas premièrement une maladie virale, il semblerait que le virus ne soit qu’un pauvre adjuvent, mais aussi rusé que Zoro il se protège à l’abri de bactéries et cellules, jusqu’à ce qu’arrive Zoro. Possible qu’on ait trop cherché à lutter contre un virus qu’on se soit trop posé de question sur le comment du pourquoi il passe de tel animal à l’homme, peut-être ne s’est-il transféré qu’encapsulé en bactéries projetées, rusé comme Zarathoustra. Mais bientôt si c’est comme ça, son compte est bon, réduit à néant, à Zéro.
      Croissant de lune.

      • @Cornichon de luxe.
        Merci je sais que je suis bête à manger du foin à vous lire mais j’avais bien compris les arguments de Raoult. Je vous l’ai dit : je lis et regarde aussi ses petites vidéos d’auto promotion de temps à autre. Je plains surtout celui ou ceux dans son équipe qui font véritablement le job pendant qu’il récolte les lauriers.
        Sinon on tourne un peu en rond mon cornichon préféré. Je comprends bien que je suis le seul interlocuteur avec qui vous pouvez confier vos obsessions. Mais hélas je n’ai pas choisi d’exercer, entre autres pour ne pas être confronté à des cas comme le vôtre qui m’amusent un temps mais finissent par me faire bailler d’ennui. Je ne doute pas que vous continuerez à me harceler. Mais il reste dans mes prérogatives de décider si je donne suite ou pas. Pour l’heure, je vous conseille plutôt une télé consultation avec votre psy. A moins qu’il n’ait profité de cette aubaine pour couper les ponts avec vous. Il aura été lui aussi un héros du quotidien jusqu’alors pour assurer de longues séances avec vous sans enregistrer de vrais progrès. On trouvera sans doute un traitement pour le coronavirus, peut-être même plusieurs. Mon pronostic est plus réservé vous concernant mais vous avez toute ma compassion.

  3. Piste pour l’avenir et pas immédiat, mais je doute que ce soit massif, je ne vois pas comment. Enfin je veux dire l’étude, l’analyse des anti-corps permet des choses, ça peut même servir éventuellement à une vaccination à base d’anti-corps, mais le don d’anti-corps pour soigner maintenant, ça m’étonnerait. Comment ferait-on un essai en double-aveugle, tiens? Question à Zarathoustra, Monsieur je sais tout. Et pas qu’un seul essai randonnisé mais plusieurs attention, je comprends pas pourquoi on s’excite sur cette piste éventuelle sur les médias mais peu prometteuse en nombre quoi qu’on fasse et pas immédiate sauf si on voulait en tirer argument face à des traitements qui existent déjà et rapidement disponibles desquels on exige des essais en double-aveugle et qui ne sont certainement pas plus hasardeux que ce don de plasma.
    L’EBM est une imposture, une érésie en infectilogie, comme c’est dur de faire rentrer cette évidence dans certains crânes épais qui ont un parti-pris, comme ce Z comme zéro.
    http://jdmichel.blog.tdg.ch/archive/2020/04/06/covid-l-imposture-evidence-based-305631.html
    Croissant de lune.

    • Merci de reprendre ce que j’ai déjà raconté sur le plasma de convalescent, dont les possibilités vaccinales. Mais visiblement ça vous défrise que j’ai anticipé d’autres options thérapeutiques, que le débat autour de l’HCQ et de Raoult ne parvient plus à masquer. Et c’est tant mieux. La référence de Raoult ce sont les chinois et ils font feu de tout bois. Donc ce n’était en fait pas bien difficile sauf pour vous visiblement.
      Maintenant pourquoi ça vous dérange que l’on examine une piste qui permettrait non seulement de guérir mais d’immuniser également des malades puisqu’on suspecte des cas de re contamination par une même souche ? Quant au fait qu’on puisse faire des études sur la thérapie passive par anticorps avec groupe de contrôle (et par extension en double aveugle), elles sont rares mais existent. Tenez cette revue de la littérature sur le sujet en lien avec le C19 pour vous instruire : https://www.inesss.qc.ca/fileadmin/doc/INESSS/COVID-19/COVID-19_Plasma_convalescent.pdf
      Elle y fait allusion.
      Enfin pourquoi ne répondez-vous pas à mes questions ? En l’occurrence Raoult s’est bien inspiré d’études chinoises avec groupe de contrôle et sa première étude, salopée, incluait bien un groupe de contrôle ? Pourquoi ?
      Vous, monsieur de lune, votre prénom c’est pas croissant mais cornichon à mon avis.

      • @Z comme zéro, moi je n’écarte pas la piste pour envisager un vaccin oui, pour envisager un traitement non ou enfin, ce serait peu de monde concernés et c’est pas prêt de toute façon, avec des alléats. Je suis réservé sur le traitement à base d’anti-corps largement distribué, la vaccination à la rigueur mais ça prend du temps et les vaccins anti-viraux sont moyennement efficaces, je rappelle qu’on n’a toujours pas un vaccin fiable contre le SIDA. Non, il y a bel et bien une étude Chinoise effectivement en double-aveugle parce que là-bas, la loi le permet, mais a-t-on besoin de ça? Vous n’avez qu’à réécouter l’interviouve de Dousde Plasy, cardiologue, ce matin sur Europe-1, si vous avez des arguments à opposer à Dousde Plasy vous le Zéro, allez-y. Le traitement proposé par Didier Raoult et quelques variantes vont apparemment s’imposer, ça commence à bouger au gouvernement, ce sera un peu tardif mais ça va se faire parce qu’il n’y a pas le choix. L’essai chinois est sur deux groupes de 31 chacun, bon je doute que ce soit permis en France parce que ça suppose exposer des malades à agravation par sotte abstention, mais le nombre est largement suffisant, quand ça marche pour dix ça marche pour dix mille tête de bois! Les Chinois n’auraient même pas dû procéder ainsi parce que les essais en double-aveugle ne sont pas pertinents en infectiologie, en fait ils ne sont pertinents du point de vue des industries pharmaceutiques que pour plaider en faveur d’un traitement qui n’apporte pas grand chose de nouveau ou pour en masquer soigneusement les dangers, ils ne sont démonstratifs qu’en apparence mais anti-démonstratifs en réalité, même l’industrie du tabac en a fait, on arrive ainsi à conclure à peu près à ce qu’on veut. Lisez l’article que je vous ai déposé plus haut! En France c’est faux de dire qu’il n’y a pas de groupe témoin, parce qu’en effet Didier Raoult a travaillé avec des hôpitaux Français qui traitaient autrement, les comparaisons sont sans appel. Et là on ne parle que des patients présentés dans les hôpitaux. Des traitements efficaces et immédiatement disponibles pour peu qu’on en fasse l’effort c’est plus concluant en virologie même que des vaccins qui ne sont pas là de sitôt. Les alléats de la chloroquine sont cardiaques supposément, donc la parole d’un cardiologue emporte mieux mon adhésion que celle d’un zéro.
        Croissant de lune.

        • Mais pourquoi mentir ? Les études de cas avec groupe de contrôle sont pratiquées en ce moment en France avec Hycovid et Discovery et ailleurs dans le monde. Par ailleurs, ceux qui encombrent les hôpitaux sont des cas graves pour lequel le traitement de Raoult ne peut rien. Il faut donc ne chercher aucune solution et les laisser crever ? Enfin, les formes mortelles sont développées essentiellement par les seniors qui sont le plus susceptibles d’avoir des vulnérabilités et des insuffisances cardiaques. Etes vous sûr que vous maîtrisez les données associées à cette maladie ? Parce que dans le cas contraire, vous promouvez un remède pour des patients qui s’en remettraient sans, sans rien proposer aux autres. C’est particulièrement inconscient. Alors taisez vous et laissez travailler les chercheurs et les médecins au lieu de faire de la pub à Raoult ou à Douste-Blazy.

          • Très bien Zéro, mais s’il s’agit d’administrer du plasma aux situations les plus sévères, encore réservé, en fait, on envisage plus de l’administrer à des soignants pour les couvrir dans leur travail, là c’est déjà plus crédible, enfin s’il y a une quantité suffisante, d’ailleurs ça se passe à Marseille aussi. Pourquoi pas, il y a des essais in vitro mais après qu’on ne vienne pas encore mettre les pieds dans le plat en exigeant des essais avec groupes témoins, ça ça ne veut rien dire dans ces choses, ou alors, ça va prendre je ne sais combien de temps, je laisse Zéro se débrouiller avec ça. Mais s’agissant des traitements qui existent déjà, ils s’agit de les administrer sans tarder, pour que les patients ne s’agravent pas. Alors d’accord, ça n’empêcherait pas quoi qu’on fasse des patients d’en arriver en phase évoluée. Pour eux on envisage de travailler sur les germes opportunistes du microbiom humain, digestif, buco-dentaire et même pulmonaire parce qu’il y aurait un microbium pulmonaire en dépit de la notion ancienne de milieu stérile, savoir quelles sont les bactéries impliquées, celles que le virus colonise le plus et qui infectent le plus opportunément. Mais là encore, il faudrait ne pas attendre, antibiothérapie adaptée mais précoce. Une fois que le patient est intubé, la crise immunitaire est telle que c’est ça qui lui donne œdème important et asphyxiant des surfaces d’échanges gazeux. Peut-être arrivera-t-on à agir sur cette grande crise inflammatoire mais c’est très compliqué et presque certainement variable d’un sujet à l’autre, si le patient ne résiste pas seul, je crains que ce soit malaisé d’arrêter des conduites à tenir valables pour tout le monde, donc il ne faut pas que ça arrive ou le moins possible, le risque zéro n’existe pas, même si certains sont des zéros pointés. Donc préventif pour tout le monde, alimentation moins chargée en sucre, oligoéléments avec du zinc, dépistages systématiques répétés et suivi des patients positifs dès que le dépistage les enregistre, il est d’ailleurs ordinaire de soigner les maladies avant les derniers moments. Confinement ou soins sélectifs des gens à risque, âge, pataulogies préalablement favorables au Covid 19,il y a franchement de la marge pour réduire la léthalité apparemment élevée en France, si on en agit selon les protocoles Raoult et variantes, on doit pouvoir atteindre une léthalité égale ou inférieure à la vraie léthalité de la grippe dite saisonnière qui est plus basse qu’on croit, trop souvent confondue avec l’ensemble des affections respiratoires. C’est encore Marseille qui donnera le la s’agissant d’isoler les bactéries les plus colonisées du virus et qui deviennent virulentes. Mais qu’on se hâte et qu’on cesse d’objecter à tout propos le zéro n’est bon que s’il vient après un chiffre et qu’il l’augmente et aprouve, en substance le cardinal Richelieu se qualifiait d’un zéro multiplicateur du roi. Il est beaucoup plus logique en infectiologie-virologie de chercher par analogie dans la pharmacopée existante, en attendant des traitements nouveaux peut-être jamais employés parce qu’arrivant je le crains après la bataille, pas comme Zoro.
            Croissant de lune.

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