Puisque vous m’incitez à user de mon droit de réponse à la suite de la diffusion par Oumma du texte à charge intitulé :
“Les ennemis de nos ennemis ne sont pas toujours nos amis, Réflexions sur le cas Alain Soral” par Pierre Tévanian, Fatiha Kaoues
le voici :
Je n’ai pas de commentaire de détail à faire sur ce “travail” qui n’est pas sans rappeler le style “flic universitaire” des Daenincks et autres Taguieff. À la lecture d’un tel pavé indigeste, plus que jamais je me sens poète !
Pour clore le débat sur le fond, avant de vous tirer ma révérence, ces deux dernières années je me suis porté au secours des “arabes” pour deux raisons bien simples :
– D’abord parce que je trouvais injuste la diabolisation dont ils étaient soudain l’objet pour des raisons évidentes de politique étrangère liée à l’Irak et la Palestine…
– Ensuite, et plus humainement encore, parce qu’il me répugne d’hurler avec les loups.
Tout le reste, vous le savez, n’est que basse, forcément basse politique ; y compris cet élégant lâchage (pour ne pas dire lynchage) au moment où certains “dérapages” me mettent particulièrement sur la sellette…
Qu’ajouter encore ?
Pour finir sur une note optimiste, faire remarquer que ce petit “travail” démontre la volonté, de la part des gens d’Oumma, d’accéder à une certaine “respectabilité” ; et que les musulmans soient enfin respectés en France, c’est tout le bien que je leur souhaite !
Quant à savoir si les chemins de la respectabilité sont toujours respectables, je vous laisse, le soin d’en débattre avec vos consciences…
Salam et bon vent,
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