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Norvège : les directeurs d’école hostiles à l’interdiction du hijab proposée par l’ex-ministre la Culture d’origine pakistanaise

A chaque contrée européenne, sa femme politique issue de l’immigration qui se fait plus royaliste que le roi en matière de signes religieux ostensibles, et plus laïque que les laïques les plus dogmatiques à l’encontre de la présence musulmane, jusqu’à mener une croisade contre le port du voile qui n’a pas lieu d’être, en gage de son jusqu’au-boutisme mais aussi et surtout en signe de son ambition dévorante…

C’est en Norvège que se trouve cette figure de proue de la politique de bas étage, en la personne de Hadia Tajik, l’ancienne ministre de la Culture et vice-présidente du Parti travailliste d’origine pakistanaise, dont la capacité à créer des problèmes là où il n’y en a pas semble se retourner contre elle aujourd’hui.

En effet, celle-ci a récemment suggéré d’interdire le hijab dans les écoles élémentaires du pays, en s’autorisant une comparaison inepte et déplacée qui n’a pas plaidé en sa faveur : « Nous n’accepterions jamais qu’une fillette de 9 ans aille à l’école en mini-jupe et talons hauts, il en va de même pour le hijab. C’est un vêtement qui est censé rendre les femmes moins attirantes sexuellement pour les hommes », a-t-elle déclaré (traduction Oumma), révélant le néant abyssal de sa pensée.

Tel est l’argument massue donné par celle dont on se demande comment, avec un tel niveau de réflexion intellectuelle, elle a pu obtenir un portefeuille ministériel, de surcroît celui de la Culture, si ce n’est grâce à un sacré coup de pouce…

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Pas de chance pour Hadia Tajik dont la proposition a fait chou blanc, suscitant la ferme opposition de la plupart des directeurs des écoles d’Oslo. Cartésiens et épris de tolérance, aucun d’entre eux ne voit l’intérêt d’interdire un couvre-chef qui n’est porté par aucune élève ou presque, préférant dans tous les cas le dialogue à la répression bête et méchante.

Alors pourquoi diable monter en épingle une affaire qui n’existe pas ?  Telle est la question pertinente qu’ils posent à Hadia Tajik en guise de réponse, campant sur leur position qui sert tout sauf les intérêts particuliers de l’ex-ministre de la Culture.

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