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Le tweet immonde de l’élue Arielle François : elle relaie une citation du moine bouddhiste Ashin Wirathu, l’assassin des musulmans birmans

Ce n’est pas le sens de la nuance, ni des responsabilités qui étouffe habituellement Arielle François, l’adjointe au maire de Compiègne (Oise), quand elle se répand sur son espace de communication préféré Twitter, mais là, son tweet immonde posté vendredi a pulvérisé toutes les lignes jaunes, sa justification honteuse achevant de la discréditer !

Une « citation pleine de sagesse ». C’est en ces termes intolérables que l’élue indigne de son mandat a fait face au scandale qui l’éclabousse depuis 48 h, après avoir osé publier la photo et le verbatim de Ashin Wirathu (voir ci-dessous), le tristement célèbre moine bouddhiste fanatisé à l’extrême, condamné à 25 ans de prison pour "incitation à la haine" anti-musulmans, ce « führer » de Birmanie, dont le surnom le « Hitler birman » lui sied comme un gant, qui a le sang des musulmans birmans, et notamment des Rohingyas, sur les mains.

En dépit de ce portrait terrifiant qui aurait dû conduire Arielle François à tout le moins à se confondre en excuses, à défaut d’avoir atténué sa propre aversion pour l’islam qui se lit en filigrane dans les propos tenus par ce moine bouddhiste assassin dont elle se nourrit de la pensée délétère, celle-ci persiste et signe de manière odieuse.

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« Je ne connais pas cet homme, je me suis dit que c’était un sage comme beaucoup de bouddhistes. Je ne savais pas qui il était, mais j’ai aimé cette citation », se défend-elle pitoyablement, en suscitant un plus grand écoeurement encore.

Alors que la mairie de Compiègne s’est murée dans le silence, que l’on espère plus embarrassé que complice, une plainte devrait être déposée par la Licra contre Arielle François.

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