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Le réalisateur du film anti-islam sera prochainement remis en liberté

Dans la rubrique « Que sont-ils devenus ? », le producteur américano-égyptien sans visage, mais escroc notoire aux multiples visages, qui a joué les Cecil B. Demille incendiaire en réalisant le tristement célèbre film anti-islam, sera de nouveau à l'air libre le 26 septembre prochain. Soit un an après avoir brossé un portrait infamant du Prophète dans un minable peplum tourné en Californie du Sud et interprété par des acteurs entraînés à leur insu dans une mésaventure aux répercussions planétaires, qui a embrasé le monde arabe et électrisé les islamophobes de tous les pays.  

Le mystérieux et sulfureux fantôme copte de 56 ans, dont la police de Los Angeles ne compte plus les forfaitures en tous genres et les innombrables fausses identités, s’appelle en réalité Mark Basseley Youssef et prépare sa sortie depuis plusieurs semaines dans un lieu tenu secret. Cet arnaqueur professionnel et pyromane de la pellicule fuira-t-il la lumière des projecteurs après avoir quitté l’ombre des barreaux ? Cela semble fort probable pour un expert des embrouilles qui préfère vivre caché pour mieux prospérer et nuire en toute liberté.

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"Je n'aurais jamais pensé que mon film créerait des problèmes à qui que ce soit ou que quelqu'un puisse être tué en raison de mon film", a-t-il confié à CNN dans une interview téléphonique, diffusée mardi. Ce n’est pas avec cette ligne de défense peu crédible qui tente de l’exonérer de toute intention malveillante que Mark Basseley Youssef, alias Sam Bacile, alias Nakoula Basseley Nakoula, nous fera prendre des vessies islamophobes pour des lanternes artistiques…

 

 

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