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Le bilan de la loi du 15 mars 2004 et de ses effets pervers

1. SCOLARITE CONFISQUEE AU NOM D’UNE LAICITE DEVOYEE.

1.1. UN BILAN POSITIF ?

Une loi contestée sur le plan international, issue de débats passionnés au cours desquels les principaux intéressés n’auront pas droit à la parole ne pouvait aboutir à un bilan positif.

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La loi du 15 mars 2004 traduit l’échec de l’Education nationale dans l’exécution de sa mission publique : scolariser tous les enfants de la République, toutes origines et croyances confondues.

Elle a abouti à l’exclusion directe et indirecte, officielle et officieuse d’une partie des enfants de notre société.

  • Abandon de scolarité des élèves, notamment à la suite du découragement de certains qui ne se présenteront pas lors de la rentrée scolaire 2004/2005 ou qui, à la suite des pressions exercées par le chef d’établissement au cours de la phase de dialogue, préfèreront abandonner toute scolarité5 ;
  • scolarisations dans des établissements scolaires privés ;
  • scolarisations dans des établissements scolaires à l’étranger ;
  • exclusions avec sursis ;
  • exclusions définitives.

Pour lire la suite du bilan cliquez ici

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