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La fin de non recevoir de Mahmoud Ahmadinejad à la communauté internationale

Animé d’une détermination sans faille, le président de la République Islamique a exprimé hier son refus de se plier au diktat de l’aréopage des six, qui regroupe les cinq membres permanents du Conseil de sécurité de l’ONU (Chine, Etats-Unis, France, Grande-Bretagne, Russie) et l’Allemagne, balayant d’un revers de main toutes les menaces de sanctions qui planent constamment sur son pays.

Désireux de parachever le programme nucléaire, M.Ahmadinejad applique coûte que coûte sa feuille de route en matière d’enrichissement d’uranium, en dépit des multiples coups de semonce du Conseil de sécurité de l’ONU, qui a déjà statué sur cinq résolutions dans ce délicat dossier, dont trois assorties de sanctions.

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Face à son homologue iranien, qui vient de défier les puissances occidentales sous la forme d’un nouvel avertissement : « Ils croyaient que nous reculerions, mais cela n’arrivera pas ». « Rien ne changera dans la politique de l’Iran », Barack Obama a, quant à lui, réaffirmé lundi dernier, en présence du Premier ministre israélien, qu’il patienterait jusqu’à la fin de l’année pour jauger la volonté de Téhéran de rejoindre la table des négociations, tout en soulignant que, dans le cas contraire, il pourrait envisager de redoubler les pressions, voire même de recourir à de nouvelles « sanctions internationales bien plus vigoureuses ».

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