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Jamel Debbouze vole au secours de son ami Anelka

A la faveur d’un week-end footballistique décoiffant, la France nous rejoue sa grande scène de l’emballement, entre jugements à l’emporte-pièce et anathèmes d’une philosophie de comptoir, qui occultent en grande partie la responsabilité de la une incendiaire du journal l’Equipe, très critiquable à maints égards, notamment par le simple fait que la véracité de la phrase attribuée à Anelka et les circonstances du délit sont remises en cause.

Ami d’enfance d’Anelka, Jamel Debbouze a témoigné au micro d’Europe 1, évoquant un ami aujourd’hui affecté, ne ressemblant pas au portrait-robot que l’on dresse de lui, et établissant un parallèle avec les attaques en règle, quelquefois injurieuses, souvent sans retenue, livrées publiquement par les Noah, Lizarazu, et d’autres encore, contre Domenech…

Une autre voix dans un nouveau tintamarre national, comme à l’accoutumée assourdissant, populiste et tronqué, une fébrilité qui n’est pas le signe d’une société confiante dans ses valeurs.

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