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Dany Boon, le nouveau nabab du cinéma français, chantre d’Israël

Après Arthur et Gad Elmaleh, c’est au tour du réalisateur comblé des « Chtis » de chanter les louanges de la terre promise à quelques jours de la sortie de son film localement.

Nos personnalités du show-business constituent décidément un vivier de VIP intarissable pour Israël, qui n’a que l’embarras du choix pour y puiser des VRP de luxe entièrement acquis à sa cause !

Au détour d’une interview promotionnelle tournant opportunément à l’apologie de la « seule démocratie de la région », ainsi que se plaît à l’affirmer Dany Boon, le fin connaisseur de géopolitique, l’homme, quant à lui, confie non sans fierté sa conversion au judaïsme pour l’amour de la belle Yaël, devenue son épouse.

Dans une séquence émotion finement introduite, celui qui caresse l’espoir de battre de nouveaux records d’entrées en misant sur l’impact de la « Chtimania » sur la communauté francophone israélienne, souligne le lien familial indéfectible qui le rattache à Israël, où vit sa belle famille qu’il visite régulièrement.

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Dans cet entetien donné à Guysen News ( l’agence de presse francophone d’Israël), Dany Boon passant d’un enthousiasme laudatif à une indignation solidaire, se dit scandalisé par le boycott infâme dont a été victime son ami proche, Arthur, entonnant à son tour le lancinant refrain de l’antisémitisme, tout en éludant les vraies motivations de cette hostilité populaire à l’encontre de l’animateur/showman, autre laudateur de l’Etat Hébreu.

Laissant parler son âme d’artiste, le saltimbanque conclut par une chute convenue, faussement humaniste : « En tant qu’artiste, je pense qu’il faut avant tout se positionner de façon humaine et ne pas forcément donner son avis politique sans savoir, ou inutilement », une pirouette d’équilibriste pour celui qui se pâme sans retenue devant la « seule démocratie de la région » !

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