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11-Septembre : images inédites, témoignages choc et manipulations dévoilées

Terrorisme, mensonges et vidéo. A l’approche de la commémoration des attentats du 11-Septembre, Oumma vous propose de découvrir d’autres perspectives sur l’évènement. Premier volet : comment la récente mise en ligne de films inédits révèle une altération frauduleuse des images par les autorités américaines.

Des centaines de photographies et de vidéos inédites : révélée l’an dernier par Oumma , telle fut l’acquisition opérée par le « Centre international pour l’étude du 11-Septembre », une association basée à New-York qui a intenté une action judiciaire contre l’agence gouvernementale du NIST pour obtenir ces images. Nous avions alors contacté son responsable, l’avocat James Gourley : l’homme qui milite pour une réouverture de l’enquête sur les attentats avait décidé de mettre en ligne l’intégralité des films jusqu’alors retenus par les autorités américaines. Depuis un an, une communauté de chercheurs collaborent, via Internet et les sites de partage vidéo, pour disséquer et analyser ces images. Si la plupart d’entre elles relèvent du simple document historique, d’autres trahissent la tentative des autorités américaines de dissimuler des faits contraires à la version officielle. Tour d’horizon.

***EXTRAIT 1

Filmées par les frères Naudet , les images de l’impact du premier avion ont fait le tour du monde. Il n’en est pas de même pour cette séquence produite par un automobiliste qui a braqué au même moment son objectif en direction de la tour nord. Si l’explosion est visible, l’angle de capture n’a visiblement pas permis de saisir l’approche de l’appareil.

***EXTRAIT 2

Comme l’ensemble des chaînes de télévision américaines, ABC a accepté de remettre aux autorités américaines toutes les images dont elle disposait, y compris celles relayées par une caméra prévue pour capturer l’état de la circulation dans New-York. Le NIST, organisme gouvernemental chargé initialement d’analyser ces images, a remis ces films à l’association de James Gourley en y effectuant plusieurs coupes. Ainsi, dans la vidéo d’ABC qui offre pourtant une belle vue d’ensemble, les moments relatifs aux impacts d’avions ne sont pas divulgués.

***EXTRAIT 3

Après l’impact du premier avion, un caméraman amateur discute avec un passant de ce qui vient de se produire. L’un d’entre eux décrit le bruit de l’engin à l’approche de la tour, similaire selon lui au son d’un missile.

***EXTRAIT 4

Un journaliste reporter d’images de l’antenne locale de NBC interroge en bas des tours un témoin à propos du premier impact. Au même moment, un grondement suivi d’une explosion se fait entendre. Le caméraman se retourne et capture de justesse l’image impressionnante d’une boule de feu.

***EXTRAIT 5

La restitution des rushes d’origine permet de saisir une meilleure qualité audiovisuelle. Tel est le cas avec cette séquence de l’impact du second avion dont l’origine reste inconnue : l’homme responsable de sa divulgation aux autorités, le producteur vidéo et spécialiste de la 3D Scott Myers, indiqua simplement que le film lui avait été remis par un tiers dont il a oublié depuis l’identité.

***EXTRAIT 6

Au même moment, un caméraman filme au bas de la tour l’éparpillement des débris et la panique qui saisit les passants.

***EXTRAIT 7

Alors que les tours s’embrasent, des employés préfèrent se jeter dans le vide plutôt que mourir asphyxié. Un caméraman d’ABC filme alors la réaction des pompiers observant la chute des corps.

***EXTRAIT 8

La confusion règne au pied des tours. Une chaîne locale a capturé le chaos environnant et les interventions des premiers secouristes. A 3’ de la vidéo, la séquence se déroule au son incongru d’une musique d’ascenseur ou de hall d’entrée, en décalage complet avec le drame qui se joue.

***EXTRAIT 9

Une employée dans la thermographie, Carol Cimiengo, a utilisé sa caméra particulière en direction des tours. A ce jour, des spécialistes des images par infrarouge continuent de discuter du sens qu’il faut prêter aux fortes températures visibles -dans la tour nord- à un niveau situé beaucoup plus bas que celui de l’impact d’avion.

*** EXTRAIT 10

Alors qu’il interroge des policiers sur les raisons de l’évacuation du secteur, un journaliste d’ABC entend le grondement annonçant la pulvérisation de la seconde tour. Le caméraman qui l’accompagne prend le temps de filmer l’amorce de la destruction avant de prendre la fuite, l’objectif braqué sur son ombre au sol.

***EXTRAIT 11

L’équipe d’ABC se réfugie aussitôt dans un parking souterrain. C’est alors la panique : des nuages de poussière s’infiltrent jusqu’au sous-sol de cet immeuble pourtant lointain par rapport à l’emplacement de la tour détruite.

***EXTRAIT 12

Quelques heures plus tard, un caméraman de NBC filme à proximité l’intervention des pompiers qui tentent en vain de contenir l’incendie qui embrase certains étages de la Tour 7.

***EXTRAIT 13

Celle-ci finira par s’effondrer symétriquement et sur sa propre empreinte en raison, officiellement, de feux de bureaux.

***EXTRAIT 14

Auparavant, un autre caméraman était parvenu à accéder au sein de la Tour 7 dans lequel un agent du Secret Service est aperçu (à 2’20) en train de s’affairer pour s’assurer, affirme-t-il, qu’il n’y ait plus personne à l’intérieur.

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« Implosion » contre « écroulement »

L’un des débats qui continue d’agiter la communauté des chercheurs indépendants sur les attentats du 11-Septembre concerne la cause exacte de la destruction des trois tours. Aujourd’hui encore, cette question est souvent éludée par les médias classiques comme l’illustre incidemment ce récent reportage de l’Agence France-Presse. Interrogeant une rescapée, la journaliste a cru bon de traduire (à 1’30) un extrait de son témoignage-durant lequel elle évoque une « implosion »- par le terme d’ « écroulement ».

Quelle que soit la réalité de ce qui s’est produit alors, le choix d’une telle traduction est non seulement une trahison à l’égard de la pensée du témoin interrogé mais le reflet d’un travestissement sémantique : une « implosion », en français comme en anglais, ce n’est pas un « écroulement ».

La question cruciale de l’usage d’explosifs était déjà suggérée antérieurement par de nombreux rescapés et autres observateurs.

Au vu de certains témoignages récemment exhumés dans les archives inédites recueillies par l’association new-yorkaise, le problème reste d’autant plus à élucider. Ainsi, ce sont notamment des pompiers qui ont affirmé avoir entendu à plusieurs reprises des bruits d’explosion alors que les conduits de gaz avaient pourtant été préalablement coupés par mesure de précaution.

Un autre témoignage inédit mérite de s’y attarder : Paul Lemos a exprimé, malgré sa fébrilité, la description la plus fournie, sur les lieux du drame et peu de temps après, d’un récit évoquant des « bombes » explosant aussi vite que des « pétards ».

Pour les anglophones, son témoignage complet, d’une durée de huit minutes, est encore plus éloquent. Paradoxe : malgré son aspect dramatique, télégénique et parfaitement approprié aux canons audiovisuels du sensationnalisme, un tel récit n’a jamais été diffusé sur les antennes.

Une vidéo permet de se représenter ce qu’a pu observer Paul Lemos. Grâce aux techniques permettant de stabiliser une image et de procéder à un zoom, un internaute, propriétaire du compte Youtube dénommé Xenomorph911wtc, a mis en ligne un lourd fichier vidéo restituant la procédé sur une tour en cours de destruction. Voici ces images :

Un autre témoignage méconnu corrobore en partie le récit de Paul Lemos. Le 12 septembre 2001, sur la chaîne d’information politique C-SPAN 2, un téléspectateur intervient par téléphone et en direct pour rapporter ce qu’il a vu et entendu en bas des tours jumelles. Selon lui, un agent du FBI, présent sur les lieux, discutait (à 2’) de l’imminence de la destruction des tours dans lesquelles auraient été implantées au préalable des bombes.

Contrairement à la récente affirmation gratuite de Rue 89 selon laquelle il n’y a pas de spécialiste d’explosifs pour soutenir une telle hypothèse, de plus en plus d’experts se sont manifestés pour appuyer cette idée. C’est le cas notamment de Tom Sullivan : dans une interview traduite en français, ce placeur de charges qui a collaboré avec la première entreprise au monde de démolition contrôlée donne une analyse étayée en renfort de la thèse d’un usage d’explosifs dans les tours désintégrées du World Trade Center.

Coupes et retouches

Contrainte par la justice américaine de remettre l’ensemble des archives audiovisuelles relatives aux attentats, l’agence gouvernementale du NIST semble avoir auparavant effectué des altérations sur de nombreuses vidéos. Après inspection de la plupart d’entre elles, Oumma a découvert l’usage, à plusieurs reprises, d’un fond d’écran bleu ou d’une coupure nette pour dissimuler la séquence, souvent capturée par des vidéastes amateurs, de moments déterminants : ceux de la destruction des tours et de l’arrivée du second avion. Ces altérations sont par exemple visibles dans les vidéos suivantes au timing indiqué : 0’40’, 10’30, 8’20 et 10’50. D’autres retouches avaient déjà été effectuées en amont par l’Autorité portuaire de New York  : la caméraman Evan Fairbanks s’était vu restituer sa vidéo-saisie par des policiers- avec le son défectueux. Une altération fâcheuse : des responsables du World Trade Center y étaient filmés -avant la chute des tours- en train d’échanger (à 4’30) une conversation visiblement délicate. On y aperçoit l’un d’entre eux faire un signe au caméraman pour qu’il s’éloigne.

Fait révélateur : la vidéo avec le son a resurgi entretemps -le 11 septembre 2008- sur History Channel mais sans la séquence de l’entretien confidentiel.

En commentant ses propres images, Evan Fairbanks avait comparé sur l’antenne d’ABC la plan sidérant de l’impact du second avion à un « mauvais effet spécial ». Un jugement qui rappelle la stupéfaction des premiers témoins à ce sujet : beaucoup avaient cru voir un jet privé ou un « avion militaire », plutôt « noir » et « sans hublot » –certainement pas un avion de ligne commerciale.

A l’inverse, d’autres témoins sont persuadés d’avoir identifié un Boeing au point d’être particulièrement précis dans leur description. C’est le cas de Douglas Eisler  : depuis son hôtel, il affirme avoir pu distinguer l’appartenance de l’avion à American Airlines.

La confusion s’ajoute aux illusions d’optique suscitées par certains angles de capture vidéo lors de l’impact de la tour sud : dans plusieurs séquences, l’aile droite semble s’effacer subitement à l’approche du building.

Au-delà des inévitables impressions erronées provoquées par la technique vidéo, la contradiction des récits relatifs à la nature des engins aériens s’est vite estompée au profit d’une seule et même version, promue par les autorités américaines et relayée par l’ensemble des médias internationaux. Cela n’a pas empêché la frange la plus radicale des sceptiques du 11-Septembre de soupçonner un gigantesque simulacre : ces partisans de la théorie « No-plane » sont convaincus qu’il s’agissait de drones militaires ou de missiles-de type JASSM- pouvant s’apparenter selon eux à des avions commerciaux.

Ils s’appuient notamment sur un documentaire, September Clues, dont la thèse centrale est la suivante : en procédant à des retouches audiovisuelles et en dissimulant les témoignages faisant état d’engins aériens atypiques, les médias audiovisuels américains se sont rendus complices d’une opération psychologique« l’attentat sous fausse bannière »- qui fut manœuvrée par une fraction dissidente de l’armée américaine en lien avec des agents souterrains de l’appareil d’état.

Ces partisans, qualifiés de « no-planners », vont jusqu’à dénoncer la double « désinformation » opérée selon eux, non seulement par le gouvernement mais également par les sceptiques plus modérés du 11-Septembre. En refusant de s’intéresser aux « anomalies » relatives aux impacts d’avion, ceux-ci feraient office d’idiots utiles de la version officielle en se contentant de controverses plus ou moins périphériques.

Une chose est certaine : quelle que soit la fiabilité de leurs arguments, les « no-planners » peuvent se réjouir de la divulgation des dernières vidéos inédites dont certaines pourraient bien venir renforcer leurs doutes. Outre la légitime suspicion suscitée par la suppression effectuée par le NIST de certaines séquences relatives aux crashs d’avion ainsi qu’aux effondrements, une étrange vidéo, d’origine inconnue, atteste très clairement d’une manipulation. Il s’agit d’un film obtenu par le FBI et remis ensuite au NIST pour les besoins de l’enquête sur la cause de la destruction des tours. La vidéo montre un plan-séquence des deux tours à partir des minutes qui ont suivi l’impact du premier avion. Le moment essentiel est celui de l’arrivée du second avion sur la tour sud.

En zoomant sur l’image, des retouches apparaissent sur la forme de l’appareil qui semble passer devant la corde de la grue –visible au premier plan- avant de s’encastrer dans la tour.

Qui a remis ce document frauduleux aux agents du FBI chargés de collecter tous les films des attentats ? Mystère. La séquence vidéo qui suit, découpée image par image, permet de mieux saisir la supercherie.

Dans les prochains jours, Oumma publiera la suite de notre série d’articles consacrés aux faits méconnus du 11-Septembre. A l’approche des commémorations qui s’annoncent d’ores et déjà dominées par l’émotion plutôt que par l’analyse critique, nous reviendrons sur la faillite des médias de masse qui n’ont pas tenu leur rôle traditionnel de contre-pouvoir et nous examinerons également -en détail et pour la première fois sur un site d’information francophone- la signification de l’incident le plus mystérieux du 11-Septembre : l’arrestation avérée d’agents sous couverture du Mossad aperçus juste après l’impact du premier avion en train de photographier avec jubilation l’embrasement de la tour nord. A l’instar de nombreux faits troublants et relatifs aux attentats, cet épisode a été passé sous silence ou édulcoré par la presse écrite et audiovisuelle. Oumma y consacrera l’enquête la plus exhaustive jamais publiée à ce jour sur Internet. En attendant, et pour représenter la désinvolture de certains journalistes qui préfèrent fustiger les sceptiques plutôt que d’effectuer des contre-enquêtes, voici -en images et en musique- une illustration facétieuse du fossé qui sépare l’élite médiatique de ces citoyens américains -de plus en plus nombreux- qui continuent d’interpeller le pouvoir pour connaître la vérité. L’enjeu est significatif : si la « guerre contre le terrorisme » ayant causé -depuis dix ans- la mort de centaines de milliers d’individus est basée sur un mensonge, les conséquences de cette démystification seraient politiquement dévastatrices.

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