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Une semaine après l’attentat d’Istanbul, la Turquie frappe la Syrie et l’Irak

La Turquie a lancé une opération aérienne dans le nord de l’Irak et de la Syrie visant, dans la nuit de samedi à dimanche, plusieurs régions sous contrôle des forces kurdes syriennes et du PKK, accusées par Ankara du récent attentat qui a fait six morts et 81 blessés à Istanbul.

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2 commentaires

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  1. Notons que parallèlement, l’Iran a agi contre les forces Kurdes en Irak, coupables d’activités anti-Iraniennes pour avoir hébergé des forces Sionistes qui ont utilisé cette base lors d’opérations. Les deux pays de Musulmans qui comptent, parce que le reste est faible et ne compte pas, semblent agir de concert, défiant les Etats-Unis et l’entité Sioniste pour les porter à réfléchir. C’est ça, la souveraineté qui est la dignité collective, l’indépendance qui est la liberté collective, finalement, il n’y a ni liberté ni dignité personelle ou collective sans force. Libert&é &égal force, c’est axiomatique.

    Croissant de lune.

  2. Réagir contre les factions Kurdes d’Irak et surtout en Syrie, membres des FDS, c’est défier les Etats-Unis d’Amérique. Les changements militaires dans le monde qui sont le fait des gouvernements audacieux, pas des partisans de la faiblesse, l’autorisent. Il n’y aura pas d’état Kurde, ni la Turquie, ni l’Iran ni la Russie ne le veulent. L’Irak et la gouvernance de Dammas sont ou complaisants ou faibles ou les deux à la fois. En Irak, c’est l’entité Sioniste il me semble qui entretient des forces au Kurdisthan. La gouvernance de Dammas comprend maintenant jusqu’où ne pas aller trop loin, la Russie désaprouve sa politique anti-Turque dépassée.

    Croissant de lune.

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