Le rideau vient de tomber sur les festivités olympiques somptuaires, et déjà la puissance évocatrice de leurs cérémonies inaugurale et de clôture nous hante… S’il y a un symbole fort qui se dégage des deux scénographies, diaboliquement et outrageusement symboliques, marquées du sceau de l’ère Macron, c’est sans conteste celui, lumineux, incarné par Sifan Hassan.
Première championne de marathon à être honorée, avec ses deux autres rivales, lors du show final des JO, la médaillée d’or néerlandaise de la course mythique par excellence a fait, hier soir, une apparition historique marquante. Une apparition radieuse, presque enchanteresse, en prélude à un spectacle au symbolisme ténébreux, anxiogène, représenté par des êtres masqués, déshumanisés.
Alors, oui ! C’est indéniablement le visage rayonnant de bonheur de Sifan Hassan, sous un hijab honni en France, au point que son port a été interdit aux athlètes françaises, qui constitue le symbole d’inclusion le plus inspirant de ces olympiades.
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