Depuis le 17 octobre, le Liban vit au rythme d’un mouvement de contestation inédit qui réclame le départ de l’ensemble de la classe politique, jugée corrompue. À Beyrouth, sur la place des Martyrs, l’un des principaux lieux de rassemblement des manifestants, des volontaires mènent des opérations de nettoyage et sensibilisent le public au recyclage des déchets.
Liban : “Nous avons besoin d’un pays propre !”

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Le Liban aura du mal à trouver une nouvelle classe politique. La corruption est un phénomène qui touche tous les pays arabo-musulmans de façon endémique. Elle existe au sommet, mais elle descend aussi jusqu’aux basses couches de la société. Le bakschich, c’est un mot arabe.
Curieusement, l’omniprésence de la religion n’empêche pas les croyants d’être corrompus. Comme s’ils ne croyaient pas du tout dans le jugement dernier.
Ce qui a fait la faillite du Liban, le hisbolet de Téhéran et les doctrine arménienne.
Les deux extrémités.
D’ailleurs , ils sont amis.