Dans un communiqué publié ce samedi, faisant suite à l’affaire de l’influenceur Doualemn, visé par un arrêté d’expulsion pour des appels à la violence sur TikTok et qui devait être reconduit jeudi en Algérie, le ministère algérien des Affaires étrangères rejette les accusations d’escalade dans les relations franco-algériennes, dénonçant une “campagne de désinformation” menée par “l’extrême-droite revancharde” française.
“Contrairement à ce que prétendent l’extrême-droite française, ses porte-voix et ses relais, l’Algérie n’est, d’aucune façon, engagée dans une logique d’escalade, de surenchère ou d’humiliation”, souligne le ministère, accusant l’extrême-droite de vouloir “imposer à la relation algéro-française leurs vues faites de velléités d’intimidation”.
Alger dénonce une procédure “arbitraire” violant la Convention consulaire bilatérale de 1974 et privant l’intéressé de ses droits de défense. Le ministère affirme que sa position vise uniquement à permettre un “processus judiciaire juste et équitable” pour son ressortissant.
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