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Fusillade meurtrière devant un collège juif à Toulouse

Après les récents meurtres des militaires du 17e régiment de génie parachutiste à Montauban, puis Toulouse, serait-on face à un serial-flingueur à scooter dans la région ?

Le doute est permis, après l’annonce de la terrible fusillade qui a, ce lundi matin, vers 8h15, de nouveau endeuillé Toulouse, et notamment le collège juif Ozar Hatora, tuant à bout portant 4 personnes, dont un professeur et  trois enfants,  et en  blessant trois autres grièvement, dont un adolescent de 17 ans qui serait entre la vie et la mort, tous stationnant aux abords de l'établissement, selon les premiers témoignages.

Si le mobile et le profil du mystérieux tueur présumé restent à déterminer – seuls un tatouage ou une cicatrice sous l’œil, et sa stature de taille moyenne, permettraient d’esquisser un premier portrait-robot  – le mode opératoire semble le même, et vient conforter les craintes des enquêteurs de le voir à nouveau sévir, avec la même détermination et audace, puisque c’est toujours en plein jour, et dans des quartiers très fréquentés.

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Alors que la consternation mêlée d'incompréhension gagne l'ensemble de la communauté nationale, qui est frappée en son sein,  le ministre de l'Intérieur Claude Guéant est attendu dans la matinée sur les lieux, ainsi que Nicolas Sarkozy et le président du Crif, ordre ayant été donné aux préfectures  «particulièrement dans le Sud-Ouest, de renforcer la surveillance et la vigilance autour des lieux d'enseignement israélites», a annoncé son porte-parole, Pierre-Henry Brandet.

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