Ils sont venus d’Irak, de Syrie, de pays d’Afrique subsaharienne, bien souvent mal informés et victimes des rumeurs, pensant que la frontière entre la Biélorussie et la Pologne ou la Lituanie était “ouverte” et qu’ils pourraient réaliser leur rêve européen. Dépouillés par les passeurs, refoulés par les gardes-frontière polonais, malmenés par les autorités biélorusses : trois de nos Observateurs racontent la réalité de la crise à la frontière Biélorussie-Pologne.
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