Une première à Chicago: les conseils du Prophète Muhammad en matière d’hygiène et de santé publique s’affichent en grand

Elles tiennent le haut de l’affiche à Chicago, les recommandations intemporelles du prophète Muhammad (saws) en matière d’hygiène personnelle et de santé publique s’exposent aux yeux de tous depuis quelques jours, sur un imposant panneau publicitaire érigé à un carrefour névralgique.
Une fois n’est pas coutume, ce n’est pas une affiche anti-islam tétanisante et apocalyptique qui crée l’événement Outre-Atlantique, et pollue le champ visuel des passants. Ce sont au contraire les sages conseils prodigués par le grand Homme de l’islam qui sont mis en exergue, et éclairent la ligne d’horizon de celles et ceux qui les lisent.
Dans une Amérique qui s’est hissée à la première place d’un macabre classement mondial (plus de 61 000 décès liés au Coronavirus), les préconisations émises par le Prophète Muhammad font d’autant plus sensation qu’elles démontrent, des siècles plus tard et en ces heures particulièrement sombres, toute leur justesse et pertinence.

C’est à l’association musulmane Gain Peace, dont la vocation première est de promouvoir le vrai visage de l’islam auprès du grand public et de dissiper les idées fausses qui altèrent son message et sa compréhension, que l’on doit cette affiche de salubrité publique que ne renierait pas l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS).
Une affiche qui est remontée aux sources scripturaires islamiques pour y puiser des consignes sanitaires ancestrales, qui s’avèrent d’une brûlante actualité.
« Lavez-vous les mains fréquemment, ne quittez pas les zones infectées et n’allez pas dans les zones infectées », est-il inscrit en toutes lettres, en s’inspirant de hadiths passés à la postérité qui prescrivent également : « Lorsque vous apprenez que la peste se déclare dans un pays, ne vous y rendez pas ; mais si elle éclate dans le pays où vous êtes, ne quittez pas cet endroit pour la fuir » – [Bukhari et Muslim].
Rappelons aussi que le Prophète Muhammad exhortait à éviter de placer un malade avec une personne en bonne santé, plaidant ainsi pour une mise en quarantaine ou un confinement avant l’heure.