Le roi Charles III a reçu mardi 11 février à Buckingham Palace les principaux leaders religieux juifs et musulmans, suite à la signature historique des “Accords de réconciliation” à Spencer House, à Londres.
Le Grand Rabbin Sir Ephraim Mirvis, chef spirituel des communautés juives orthodoxes du Royaume-Uni, et le Grand Imam Dr Sayed Razawi, directeur général de l’Institut écossais des communautés ismaéliennes (branche de l’islam chiite guidée par l’Aga Khan), accompagnés de l’Imam principal Qari Asim et du Rabbin Josh Levy, ont été accueillis dans la salle 1844 du palais pour présenter ce cadre de collaboration inédit.
“C’est une initiative merveilleuse”, a déclaré Charles III lors de cette rencontre. Le Grand Rabbin a souligné l’importance historique de ce moment, affirmant que “c’est la seule voie possible”. Ces accords, élaborés au château de Drumlanrig en Écosse le mois dernier, visent à établir une base durable pour la compréhension mutuelle entre les communautés juives et musulmanes. Ils ont réuni des représentants de onze courants différents des deux religions.
“Les Accords de Drumlanrig représentent un premier pas audacieux vers la reconstruction d’une confiance significative entre les communautés musulmanes et juives sur le long terme”, a expliqué Sir Ephraim Mirvis dans un communiqué. “Ils ne masquent pas nos différences, ils les reconnaissent.”
Lord Khan de Burnley, ministre britannique des Cultes, ainsi que des représentants des gouvernements britannique et écossais et de la Commission européenne ont assisté aux discussions en tant qu’observateurs.
“uelle était la motivation de Disraeli derrière la politique étrangère qu’il a impulsée à l’Empire britannique ? Croyait-il que la destinée manifeste des Britanniques était de conquérir le monde ? Ou bien, se souvenant de la manière dont les héros bibliques Esdras et Néhémie avaient exploité la politique étrangère des Perses, voyait-il l’Empire britannique comme un instrument du destin supérieur de la nation juive ? En amarrant le canal de Suez aux intérêts britanniques, cherchait-il simplement à damer le pion aux les Français (qui avaient creusé le canal), ou bien jetait-il les bases de la future alliance entre Israël et l’empire anglo-américain ? Car une fois que les Britanniques prirent pris possession du canal de Suez, ils devaient le défendre, et comment mieux le faire qu’avec un gouvernement juif autonome et amical à proximité, en Palestine ? C’est exactement ce que Chaim Weizmann proposera aux Britanniques trente ans plus tard : «La Palestine juive serait une garantie pour l’Angleterre, en particulier en ce qui concerne le canal de Suez8.» Et lorsqu’en 1956, les Israéliens ont envahi le Sinaï avec le soutien des Britanniques et des Français, ils l’ont fait en promettant à nouveau à la Grande-Bretagne de lui rendre le contrôle du canal que Nasser avait nationalisé.”
Après l’Angleterre, c’est au tour de la France qu’il incombe désormais de servir le sionisme.
https://reseauinternational.net/lenigme-de-disraeli-une-etude-de-cas-dans-le-grand-jeu-juif/
Après les avoir bien divisés et après avoir surarmé la sionisterie pour massacrer un maximum de palestiniens et musulmans par conséquent, voilà que le champion du monde du diviser pour mieux régner, se drape dans sa perfidie légendaire.
Derrière une guerre, un conflit armé ou une agression militaire se cache toujours un anglais, car c’est chez lui, en Angleterre et à partir, qu’opère la sionisterie, laquelle infamie a liquidé l’ex femme de ce triste sire, la mère de ses gosses parce qu’elle couchait avec un musulman.
Un musulman près de la couronne d’Angleterre, jamais !