L’actrice irlandaise Nicola Coughlan récolte 2 millions de dollars pour les enfants en souffrance de Gaza

« Ne laissez jamais personne, ni aucun média, ni aucun gouvernement vous manipuler en vous faisant croire que ressentir de l’empathie humaine est un acte controversé », proclame avec solennité l’actrice irlandaise Nicola Coughlan. C’est sans nul doute l’une des plus belles répliques qu’a jamais déclamées la comédienne, car personne ne la lui a dictée. Elle vient du fond du coeur.  

La Palestine chevillée au corps, l’une des stars de la série Bridgerton s’est empressée de joindre le geste à la parole forte et engagée. Nicola Coughlan a, en effet, mis sa notoriété au service d’une cause humanitaire universelle pour laquelle elle éprouve une infinie compassion : celle des enfants en souffrance de Gaza.

Elle a ainsi activement contribué à récolter la somme mirifique de 2 millions de dollars pour l’association Palestine Children’s Relief Fund (PCRF), basée à Los Angeles. Le PCR fournit actuellement de la nourriture, de l’eau, des vêtements, des soins médicaux et de l’aide à l’innocence atrocement suppliciée, affamée, mutilée et profondément traumatisée de l’enclave palestinienne martyre.

« Merci à l’actrice et star de Bridgerton Nicola Coughlan pour son incroyable soutien au PCRF et pour ses efforts de collecte de fonds qui ont totalisé un montant fabuleux de 2 millions de dollars américains, en soutien à nos efforts urgents de secours et de rétablissement à Gaza », a écrit l’association caritative dans un message pétri de gratitude sur les réseaux sociaux.

Et de poursuivre : « Merci d’utiliser votre voix pour inspirer le soutien à la paix et d’avoir eu un impact sur la vie de milliers d’enfants et de familles déplacés dans le besoin, en leur fournissant une aide humanitaire et des secours médicaux. » 

Tout au long de la promotion médiatique de la nouvelle saison de Bridgerton, l’actrice irlandaise, à l’instar de la très pro-palestinienne Terre du trèfle à trois feuilles, a fait preuve d’un soutien sans faille envers la Palestine, n’ayant cure de s’attirer les foudres d’un show-business qui a majoritairement, à de rares exceptions près, choisi depuis longtemps l’autre camp : celui de l’Etat génocidaire israélien.