Pour le ministre, cité par MEE, ce label devrait définir “ce qui entre dans le patrimoine marocain” pour, ensuite, “interagir avec les institutions internationales, parmi lesquelles l’Unesco, afin d’obtenir une reconnaissance internationale du patrimoine marocain et de l’histoire marocaine”.

Un casus belli culinaire

Pourtant, comme le note le site installé à Londres, “dans un rare moment d’union maghrébine”, le Maroc, l’Algérie, la Tunisie et la Mauritanie avaient mis de côté leurs querelles et divergences pour s’unir, en décembre 2020, dans une candidature commune et inscrire le plat au patrimoine immatériel de l’Unesco.

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Courrier International