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Bernie Sanders n’assistera pas au dîner du CRIF américain !

Le candidat démocrate à la présidence des Etats-Unis vient d’annoncer qu’il ne se rendra pas à la conférence annuelle de l’AIPAC, équivalent américain du dîner du CRIF en France.

Bernie Sanders est juif mais il a publiquement condamné “le sectarisme” de cette institution, et rappelé que “ses dirigeants ne parlent de paix et en sécurité que pour les Israéliens, alors que les mêmes droits devraient s’appliquer pour le peuple palestinien”.

En tête du parti démocrate pour les élections américaines de novembre prochain, le sénateur Bernie Sanders sait qu’il joue gros en critiquant le lobby israélien aux USA, et en refusant de se rendre à sa conférence annuelle qui se tiendra à Washington, du 1er au 3 mars prochain.

“Si je suis élu, a indiqué Sanders, qui a remporté récemment la primaire démocrate dans le Nevada et dans le New Hampshire, je soutiendrai les droits des Israéliens comme des Palestiniens et je ferai tout pour apporter la paix et la sécurité dans la région”.

L’AIPAC a réagi en qualifiant d’’insultante” et de “honteuse” la déclaration de Sanders.

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Pour rappel, Hillary Clinton avait pris la parole à la conférence de l’AIPAC en 2016, et Donald Trump en avait fait autant en 2019, profitant de l’occasion pour attaquer Obama, embarrassant ainsi l’AIPAC qui s’était excusée auprès de l’ancien président qui n’avait pas démérité dans son soutien au lobby israélien.

(Traduit par CAPJPO-EuroPalestine)

Source Haaretz

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15 commentaires

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  1. @ Luna
    Au lieu de recopier comme un âne un bouquin, et d’accuser comme toujours Israël, posez vous la question à laquelle toutes les personnes qui s’intéressent un peu à l’assassinat de Robert F Kennedy savent.
    Qui est l’assassin de Robert F Kennedy ?
    L’ assassin est le Palestinien Shiran Shiran, condamné à mort pour meurtre. (peine commuée en prison à vie).
    Mais comme toujours, c’est pas les Arabes les responsables c’est Israël le coupable.
    A votre place Luna, j’irai me cacher sur la lune de honte !!!

  2. Cinquième partie et fin du récit du double assassinat de Scott Fitzgerald Kennedy et de son frère qui était son ministre de la justice.
    Il était prévu que l’attaque, si elle avait réussi, si le bateau avait coulé et si tout l’équipage avait péri, serait attribuée à l’Égypte. L’opération aurait alors donné à Johnson le prétexte dont il avait besoin pour intervenir aux côtés d’Israël contre l’Égypte.

    Mais le plan rata. L’affaire de l’USS Liberty fut alors déclarée nulle et non avenue par une commission d’enquête dirigée par l’amiral John Sidney McCain II, commandant en chef des forces navales US en Europe (et père du sénateur de l’Arizona John McCain III).

    Johnson accepta la fallacieuse excuse israélienne “d’erreur de ciblage”.

    En janvier 1968, il invita le Premier ministre israélien Levi Eshkol à Washington et le reçut chaleureusement dans son ranch du Texas.
    Qui plus est, Johnson récompensa Israël en levant l’embargo sur l’équipement militaire offensif : les tanks et les avions ” made in USA ” affluèrent à tel Aviv.

    Ce false flag raté prouve la complicité secrète qui unit Johnson et Israël, impliquant la haute trahison dans le chef de Johnson.

    Conclusion
    John et Robert étaient si proches, témoigne Arthur Schlesinger,
    qu’ils avaient rarement besoin de finir leurs phrases pour
    se comprendre
    Outre le fait que John et Robert étaient frères, leurs assassinats ont au moins deux choses en commun : Lyndon Johnson et Israël.

    Considérons en effet, pour commencer, le fait que leurs morts encadrent très précisément la présidence de Lyndon Johnson, qui était au pouvoir durant les deux enquêtes qui suivirent : Johnson devint président le jour de la mort de John, et termina son mandat quelques mois après la mort de Robert.

    Dans les deux cas, nous trouvons les empreintes de l’État profond d’Israël : c’est la volonté d’impliquer un Palestinien antisioniste qui le trahit, dans le cas de Robert, et, dans le cas de John, c’est l’identité de l’homme qui fut chargé de tuer le pigeon : un gangster juif lié à l’Irgoun.

    Johnson et Israël, les deux éléments communs dans les assassinats des Kennedy, sont eux-mêmes étroitement liés, puisque Johnson peut être considéré comme un sayan de haut niveau, un homme secrètement voué à Israel, ou sous la coupe d’Israël, au point de commettre le crime de haute trahison envers la nation qu’il avait été élu pour conduire et protéger.

    Le lien causal entre les deux assassinats devient alors très clair : même si Robert avait été pro-Israël – ce qu’il n’était pas – Israël et Johnson auraient eu néanmoins une raison péremptoire de l’éliminer avant qu’il arrive à la Maison Blanche, d’où il aurait pu rouvrir l’enquête sur la mort de son frère, ce qui était bien dans ses intentions.
    Ce qui aurait dû crever les yeux dès le départ apparaît aujourd’hui en pleine lumière : pour résoudre le mystère de l’assassinat de John, il faut simplement considérer les deux assassinats qui y sont reliés : celui de Lee Harvey Oswald, l’homme dont le procès aurait révélé la mystification et peut-être exposé les assassins au grand jour et l’assassinat de Robert Kennedy, l’homme qui aurait rouvert l’enquête s’il avait vécu. Et ces deux assassinats portent la signature d’Israël.

    À sa mort en 1968, Robert Kennedy laissait onze orphelins, compte non tenu des deux orphelins de John qu’il avait pour ainsi dire adoptés. John F. Kennedy Jr, alias John-John, qui venait d’avoir trois ans le jour de l’enterrement de son père, incarnait le mythe des Kennedy dans le cœur des Américains. La route semblait toute tracée pour qu’il devienne président un jour. Il est mort le 16 juillet1999 avec sa jeune femme et l’enfant qu’elle portait, quand son avion privé a soudain piqué du nez dans l’océan, quelques secondes après avoir annoncé son atterrissage sur un terrain des Kennedy, dans le Massachusetts.

    John-John, a souvent été décrit comme un jeune homme superficiel, gâté et inoffensif. Mais cette image était aussi trompeuse que celle du jeune Hamlet dans la pièce de Shakespeare.
    John avait de très sérieuses choses en tête, et, à 39 ans, il venait de faire son entrée en politique.
    En 1995, il avait fondé le magazine George, qui parut inoffensif jusqu’à ce qu’il y fût question d’assassinats politiques. En mars 1997, George avait publié un article de 13 pages signé par la mère de Yigal Amir, condamné pour l’assassinat du Premier ministre israélien Yitzhak Rabin.
    L’article soutenait la thèse d’une conspiration de l’extrême-droite israélienne.

    JFK Jr fut donc éliminé alors qu’il marchait sur les traces de son père, entrait en politique par la porte du journalisme et s’intéressait aux crimes de l’État Profond israélien.

    Le journaliste canadien Barry Chamish croit que John Kennedy Jr a été assassiné exactement pour ces raisons.

    La notion ridicule d’une mystérieuse malédiction planant sur les Kennedy n’est rien d’autre qu’un rideau de fumée. Les meurtres non résolus de JFK et de ses deux héritiers légitimes – son frère cadet et son unique fils – exigent une explication plus rationnelle. Le sentiment que les versions officielles de ces morts ne sont qu’un énorme camouflage hante la psyché américaine, un peu comme un secret de famille honteux affecte la personnalité de tous ses membres au niveau de l’inconscient.

    Le président John Kennedy et son frère sont des figures héroïques, presque christiques, dans le cœur d’un nombre toujours croissant de citoyens, qui ont fini par se rendre compte des effets désastreux de leurs assassinats sur le long terme. Ce n’est que quand le public américain au sens large osera affronter la vérité de leurs morts et fera honneur à leur héritage et à leur sacrifice, que l’Amérique aura une chance de se rédimer et de redevenir grande.

    _________________________
    Laurent Guyénot
    Sources :
    The Unz Review
    Veterans Today
    Strategika51

  3. Quatrième partie de ” Qui a tué Kennedy président et son frère ?”

    Elle croyait qu’on avait fait chanter Kennedy avec des preuves de ses nombreuses infidélités conjugales :
    “Jack savait que Hoover et LBJ auraient rempli les airs d’histoires de femmes ”

    Quels que soient les détails du chantage, Kennedy avait confié à son assistant Hyman Raskin, en guise d’excuse pour avoir choisi Johnson :
    ” On ne m’a pas laissé le choix … Ces salauds essayaient de monter un coup contre moi. Ils ont menacé de me causer des problèmes et j’ai déjà suffisamment de problèmes.”

    En 2013, Associated Press a fait état d’enregistrements nouvellement publiés provenant du bureau de Johnson à la Maison Blanche, qui témoignent de ” relations personnelles et souvent émotionnelles [de Johnson] avec israël”, soulignant que sous Johnson ” les États-Unis étaient devenus le premier allié d’Israël et son principal fournisseur d’armes “.
    Un article du 5 Towns Jewish Times – ” Notre premier président juif, Lyndon Johnson ? “- rappelle son soutien continuel des juifs et d’Israël dans les années 1940 et 1950, et conclut :
    ” Le président Johnson a fermement orienté la politique américaine dans une direction pro-israélienne”.
    L’article mentionne aussi que ”des recherches dans l’histoire personnelle de Johnson montrent qu’il a hérité cette sollicitude pour les juifs de gens de sa famille. Sa tante Jessie Johnson Hatcher, qui eut une influence majeure sur LBJ, était membre de l’Organisation Sioniste d’Amérique”.
    Une note ajoute : “Son ascendance juive par les femmes remonte à trois générations dans l’arbre généalogique de la famille Johnson. Il n’est pas douteux que Johnson était juif.”
    Quelle qu’ait été la raison du dévouement de Johnson envers Israël, il est certain que c’est grâce à lui qu’Israël a pu poursuivre sans frein son programme d’armement nucléaire et acquérir sa première bombe atomique vers 1965. L’historien Stepen Green écrit :
    ” La Maison Blanche de Lyndon Johnson n’a pas vu de Dimona, n’a rien entendu sur Dimona et rien dit sur Dimona quand le réacteur a posé problème en 1964.”

    Grâce à la mort de JFK, Israël a aussi pu réaliser son plan d’annexion des territoires palestiniens au-delà des limites imposées par le Plan de répartition des Nations Unies. En s’appuyant sur les faucons du Pentagone et de la CIA, Johnson a intensifié la guerre froide et créé le climat de tension dont Israël avait besoin pour diaboliser le président égyptien Nasser et renforcer son propre statut d’allié indispensable au Moyen Orient.

    Pendant la guerre des Six jours de 1967, Israël s’est débrouillé pour tripler son territoire tout en créant l’illusion d’agir en état de légitime défense. Le mensonge ne pouvait pas tromper les agences d’espionnage américaines, mais Johnson avait donné le feu vert à l’attaque israélienne et même autorisé James Angleton, de la CIA, à révéler à Israël la position exacte des bases aériennes égyptiennes, ce qui permit à Israël de les détruire en quelques heures.

    Quatre jours après le début de l’attaque israélienne, Nasser accepta le cessez-le-feu réclamé par le Conseil de Sécurité des Nations Unies. C’était trop tôt pour Israël, qui n’avait pas encore atteint tous ses objectifs territoriaux. Le 8 juin 1967, l’USS Liberty, un avion-espion de la NSA mouillant dans les eaux internationales au large du Sinaï, était bombardé, mitraillé et torpillé pendant 75 minutes par des Mirages israéliens et trois bateaux torpilleurs, dans l’intention évidente de le couler sans laisser de survivants. (Même les passages d’évacuation furent mitraillés.)
    Pendant ce temps, Johnson, à partir de la Maison Blanche, intervenait personnellement pour interdire à la Sixième Flotte toute proche de se porter au secours de l’USS Liberty, après que l’équipage, en dépit de la destruction de ses appareils de transmission, eût réussi à envoyer un SOS.

  4. Troisième partie de ” Qui a tué Kennedy et son frère ?”

    Les preuves qui incriminent Johnson ne s’opposent pas aux preuves incriminant Israël, au contraire. Premièrement, les deux pistes convergent dans la personne de Jack Ruby, que Nixon identifiait comme un des ” Johnson’s boys”, selon l’agent de Nixon Roger Stone..
    L’hypothèse que Ruby ait agi sur les ordres de Johnson expliquerait certaines de ses bizarres déclarations devant la Commission Warren :

    ” Si vous ne me ramenez pas à Washington ce soir pour me donner une chance d’expliquer au Président que je ne suis pas coupable, vous verrez la chose la plus tragique qui puisse arriver.
    ” Il se passera quelque chose de tragique si vous ne prenez pas mon témoignage et si vous ne me défendez pas, de façon que mes proches ne souffrent pas de ce que j’ai fait. ”

    Il dit qu’il craignait que son acte soit utilisé ” pour créer quelque fausseté sur certains de la foi juive ” mais ajoutait que ” peut-être quelque chose peut être sauvé … ” Si notre Président, Lyndon Johnson, apprenait de moi la vérité” .
    Par ces mots, Ruby paraissait tenter d’envoyer un message à Johnson via la Commission, ou peut-être l’avertissait-il qu’il pourrait vendre la mèche à propos d’Israël si Johnson n’intervenait pas en sa faveur. Notre impression est que Ruby s’attendait à ce que Johnson le gracie.

    Quoi qu’il en soit, Johnson ne fit rien pour tirer Ruby de prison. Le sentiment de Ruby d’avoir été trahi expliquerait pourquoi, en 1965, après avoir été condamné à la réclusion perpétuelle, il accusa implicitement Johnson du meurtre de Kennedy dans une conférence de presse :

    ” Si Adlai Stevenson avait été le Vice-président, il n’y aurait jamais eu d’assassinat de notre bien-aimé Président Kennedy. ”
    Ruby est mort d’une maladie mystérieuse, dans sa prison, en 1967.

    Un président crypto-sioniste ?

    Ruby n’est pas le seul lien entre Johnson et Israël, loin de là .
    À la vérité, Johnson a toujours été l’homme d’Israël. Ses campagnes électorales avaient été financées, depuis 1948, par le financier sioniste Abraham Feinberg, qui se trouvait être le président d’Americans for Haganah Incorporated, qui collectait des fonds pour la milice juive.

    C’est le même Feinberg qui, après les primaires démocrates de 1960, avait fait la proposition suivante à Kennedy, comme Kennedy lui-même l’a rapporté à son ami Charles Bartlett :

    ” Nous savons que votre campagne a des difficultés. Nous sommes disposés à payer vos factures, si vous nous laissez le contrôle de votre politique au Moyen Orient ”.

    Bartlett se rappelle que Kennedy en avait été profondément outré et qu’il avait juré que, si jamais il devenait président, il s’occuperait de ça.

    Il est avéré, grâce à l’initié Arthur Schlesinger (A Thousand Days : John Kennedy in the White House ( Mille jours : John Kennedy à la Maison Blanche ), 1965, que les deux hommes qui avaient convaincu Kennedy de prendre Johnson pour co-équipier étaient Philip Graham et Joseph Alsop, respectivement éditeur et rédacteur du Washington Post, et partisans déterminés d’Israël.

    Schlesinger ne révèle pas les arguments de Graham et Alsop et déclare que la décision finale de Kennedy ” défie la reconstruction historique” – curieuse affirmation de la part d’un historien si bien informé sur le sujet. Mais Evelyn Lincoln, secrétaire personnelle de Kennedy pendant douze ans, avait sa propre idée là-dessus.

  5. La deuxième partie de mon précédent poste

    Procès à Lyndon Johnson
    Lyndon Johnson, le président le plus pro-israélien de l’histoire des États-Unis

    Plusieurs enquêteurs ont désigné Lyndon Johnson, le vice-président de Kennedy, comme le cerveau de l’assassinat de Kennedy. Il ne fait en tout cas aucun doute que les conjurés ont agi en sachant que Johnson, qui succéda automatiquement à Kennedy à la tête de l’État, les couvrirait. Le contexte de crise nationale lui permit d’intimider la Justice et la presse en assouvissant l’ambition de toute sa vie. Mais Johnson n’a pas fait que bénéficier du complot : il a participé à son élaboration. En sa qualité d’ancien sénateur du Texas, il a été en mesure de mobiliser des complices très haut placés au Texas pour préparer l’embuscade. Il avait aussi des hommes à lui dans la Marine. En 1961, le sénateur texan John Connally avait été nommé Secrétaire à la Marine à la demande de Johnson. Quand Connally avait démissionné au bout de onze mois pour poser sa candidature au poste de gouverneur du Texas, Johnson avait convaincu Kennedy de nommer, pour le remplacer, un autre de ses amis texans : Fred Korth.

    Le contrôle privilégié de Johnson sur la Marine est un aspect important de l’affaire, parce que la Marine a joué un rôle critique dans la mise sur pieds et l’occultation du complot. Tout d’abord, et contrairement aux idées reçues, Lee Harvey Oswald avait été recruté par la Marine et non par la CIA. C’était un marine, et c’est en tant que tel qu’il avait travaillé pour l’Office of Naval Intelligence (ONI, Bureau d’espionnage de la Marine ).
    Deuxièmement, c’est à l’Hôpital Naval de Washington que l’autopsie de Kennedy a été pratiquée, après que son corps ait été pratiquement volé à main armée au Parkland Hospital de Dallas.
    Le rapport d’autopsie prétend que la balle fatale est entrée par l’arrière dans le crâne de Kennedy, ce qui contredit le témoignage de 21 membres de l’hôpital de Dallas qui ont vu deux entrées de balles sur le front du corps de Kennedy.

    C’était d’une importance critique, parce qu’Oswald était censé avoir tiré sur Kennedy de l’arrière et ne pouvait par conséquent pas lui avoir infligé ces blessures.
    Harvey Oswald, autre bouc-émissaire, exécuté sans autre forme de procès par un terroriste SIONISTE lié à l’Irgoun, Jacob Leon Rubenstein, connu sous le nom de Jack Ruby.

    Il faut noter encore que Johnson s’était servi de ses relations dans la Marine pour participer à la plus grande affaire de corruption jamais enregistrée à l’époque. Son complice, Fred Korth, avait été contraint de démissionner de son poste de Secrétaire à la Marine en novembre 1963, une semaine seulement avant l’attentat de Dallas, après que le ministère de la Justice avec Robert Kennedy à sa tête l’eût impliqué dans une fraude portant sur un contrat de 7 milliards de dollars pour la construction de 1.700 avions militaires TFX par la société texane General Dynamics. Le secrétaire personnel de Johnson, Bobby Baker, était accusé dans la même affaire

    À cause de ce scandale croissant et d’autres soupçons de corruption, Kennedy était décidé à changer de vice-président lors de la prochaine campagne pour sa réélection.
    Présent à Dallas le jour précédant la visite présidentielle, Nixon avait diffusé la rumeur de la destitution imminente de Johnson, et le Dallas Morning News rapportait, le 22 novembre : ” Nixon prédit que JFK va virer Johnson ”. Au lieu de quoi, c’est ce jour-là que Johnson est devenu président.

    Beaucoup d’Américains ont immédiatement soupçonné Johnson d’être impliqué dans le coup d’État, surtout après la publication, en 1964, d’un livre de James Evers Haley A Texan looks at Lyndon ” Un Texan regarde Lyndon ” qui décrivait Johnson comme profondément corrompu. Selon son biographe Robert Caro, Johnson était un homme assoiffé de pouvoir dans sa forme la plus nue, de pouvoir non pour améliorer la vie des autres, mais pour les manipuler et les dominer, pour les plier à sa volonté .”

  6. @didier lestage & patrice
    Je vous invite à découvrir l’identité des ignobles terroristes et abominables assassins du président américain John Fitzgerald Kennedy, que vous feignez ignorer hypocritement.
    Ce sont toujours les mêmes crapules qui commanditent le meurtre de présidents d’états souverains, de généraux d’états souverains, de commandants d’états souverains lesquels se battaient courageusement contre leurs terroristes bras armés, d’isis au Moyen Orient et en Afrique du Nord et dans d’autres contrées.

    Qui a tué John Fitzgerald Kennedy ?
    Depuis 50 ans, la piste israélienne dans l’assassinat Kennedy a été étouffée, et quiconque la mentionnait était immédiatement ostracisé.
    Le membre du Congrès américain Paul Findley a néanmoins osé écrire en mars 1992, dans le Washington Report on Middle Eastern Affairs ( Rapport de Washington sur les affaires du Moyen-Orient ) :
    ” Il est intéressant de noter que parmi tant de mots écrits et prononcés sur l’assassinat de Kennedy, le Mossad n’a jamais été mentionné.”
    Kennedy, informé par la CIA en 1960, des buts militaires poursuivis par le complexe de Dimona dans le désert du Négev, était fermement déterminé à empêcher Israël de se doter de la bombe atomique. C’est avec cet objectif en tête qu’il avait remplacé Allen Dulles, directeur de la CIA, par John McCone, qui avait, en qualité de président de la Commission à l’Énergie Atomique d’Eisenhower, “fuité” vers le New York Times, la vérité sur le projet Dimona d’Israël.
    L’histoire fut publiée le 19 décembre 1960, quelques semaines avant l’investiture de Kennedy. Comme l’écrit Alan Hart :
    “Il ne fait aucun doute que la détermination de Kennedy d’empêcher Israël de développer sa propre bombe atomique fut le facteur primordial dans sa décision de nommer McCone.”

    À la suite de quoi Kennedy pressa Ben Gourion d’autoriser des inspections régulières de Dimona : d’abord verbalement, à New York, en 1961, plus tard par des lettres de plus en plus insistantes.
    Dans la dernière, cablée le 15 juin 1963 à l’ambassadeur d’Israël avec instruction de la remettre en mains propres à Ben Gourion, Kennedy exigeait l’accord de Ben Gourion sur une visite immédiate qui devrait être suivie de visites régulières, tous les six mois, faute de quoi :

    ” l’engagement de ce gouvernement envers Israël et le soutien qu’il lui apporte pourraient être sérieusement remis en question.”
    Le résultat fut inattendu.
    Ben Gourion évita de recevoir officiellement, la lettre en annonçant sa démission le 16 juin.
    Aussitôt que le Premier ministre Levi Eshkol entra en fontions, Kennedy lui envoya une lettre identique (elle est datée du 5 juillet 1963), mais ce fut en pure perte.
    Ben Gourion avait-il démissionné pour s’occuper de Kennedy à un autre niveau ?

    Cinq mois plus tard, la mort de Kennedy soulageait Israël de toute pression et même de tout risque de publicité sur son programme nucléaire militaire.
    Un seul auteur a sérieusement enquêté sur cette piste : Michael Collins Piper, dans son livre de 1995 Final Judgment : The Missing Link in the JFK Assassination Conspiracy ( Jugement dernier : le chaînon manquant dans la conspiration pour assassiner Kennedy ).
    Piper a été largement ignoré par le mouvement mainstream des chercheurs de vérité sur Kennedy. Mais cet ouvrage n’en a pas moins fait son chemin.
    En 2013, Martin Sandler a écrit, à propos du travail de Piper, dans son édition des lettres de Kennedy (qui comprenaient celles écrites à Ben Gourion sur Dimona) : ” De toutes les théories du complot, celle-ci reste une des plus intrigantes.”
    La suite à venir….

  7. Le crif et l’aipac sont le porte-voix d’un régime qui ne respecte rien, qui ne supporte pas la différence, l’autre et qui effraierait n’importe quelle « démocratie » qui se respecte …
    Alors forcément avec «Au Menu » les crimes, tortures et attaques d’écoliers normalement, ça coupe l’appétit …
    De plus en plus mal supporté par la population … Qui trouve que ça fait un peu « le banquet de cons »… Au minimum bien sûr…
    What else !

  8. Grand merci à Chérif d’avoir répondu, après toutes ces années, à la question que tout le monde se posait: Qui a diligenté l’assassinat de Kennedy? Enfin, on sait. Ce sont bien entendu les juifs, sans doute les parents de ceux qui ont dynamité le WTC. Et dire que les mauvaises langues évoquaient un règlement de compte entre mafieux! C’est Thierry Meyssan qui vous a soufflé la bonne réponse?

    • Qui a été à l’origine de l’assassinat de Kennedy je n’en sait rien, mais j’aimerais juste vous dire de faire très attention à une chose Patrice. En supposant que ce soit un lobby israélien il faut préciser les pro-israéliens mais pas “les juifs”. A l’heure où on essaie de traiter d’antisémites et de condamner tous ceux qui osent s’opposer à Israël nous devons bien faire la différence entre Israël et juif. Les juifs ne soutiennent pas tous Israël.

  9. Oui, Sanders peut risquer gros s’il est élus.
    Avant lui Kennedy avait été assassiné en 1963 parce qu’il s’était opposé à l’existence d’un Etat israélien dans l’Etat US, comme l’est AIPAC aujourd’hui. Comme il s’était opposé à ce que israël possède les armes nucléaires. Puis son frère avait été assassiné à son tour en 1967 car il avait l’intention de briguer le mandat présidentielle de 1968. Il a été assassiné parce qu’il était soupçonné de vouloir venger son frère.
    Malgré tout ça, l’Etat terroriste d’israël est choyé par tous les régimes vassaux occidentaux (entre autres), à cause de la puissance du lobby sioniste qui fait le chaud et le froid chez eux.

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